MENER UNE VIE DE BÂTON DE CHAISE
Aujourd’hui, la chaise repose sur le sol grâce à quatre supports. Or, le siège n’a pas toujours été statique. Des hommes levaient et mettaient à terre deux grands bâtons au centre desquels était suspendue une cabine qui abritait les nobles ainsi transportés. Fatiguant, ce travail laissait peu de place à la fantaisie. Peu à peu, la conscience commune n’arrivait plus à dissocier la vie de ces porteurs aux mouvements incessants qu’ils faisaient pour leur travail. L’expression illustrait donc une existence dissolue, sans la moindre stabilité.
COURIR LE GUILLEDOU Ça se dit encore un peu au Québec, surtout chez les vieux..
J’utilise toutes ces expressions.