cannibalisme

En combinant analyse génétique et preuves généalogiques, des chercheurs ont pu établir l’identité du premier individu connu à avoir été cannibalisé lors de la tristement célèbre expédition polaire Franklin.

L’observation de nématodes a révélé que dans des conditions de stress extrême, ces minuscules organismes pouvaient développer des attributs cauchemardesques et dévorer leurs propres congénères.

Dans le vaste ensemble du règne animal, la survie exige souvent une myriade d’adaptations et de stratégies. Alors que certaines créatures utilisent le camouflage, la vitesse ou le venin comme moyen pour continuer à exister, d’autres plongent dans le domaine du cannibalisme. Le fait de consommer les siens est un aspect effrayant du monde animal, qui transcende les frontières de la prédation traditionnelle.

Comme si la vie sexuelle d’un minuscule marsupial australien n’était déjà pas assez étrange, des scientifiques ont découvert qu’elle impliquait également des comportements cannibales.

L’être humain peut parfois être monstrueux. Cela a été le cas pour de nombreux tueurs en série et autres criminels dont les actes dépassent l’entendement. Parmi ces individus que l’on arrive difficilement à comprendre, il y a Donlad « Pee Wee » Gaskins, un tueur en série cannibale qui aurait assassiné 90 personnes.

Sui Ishida s'est rapidement fait remarquer en 2011 avec la sortie de son premier manga publié dans le Weekly Shonen Jump de Shueisha. Tokyo Ghoul, comme son nom l'indique, nous raconte l'histoire d'une jeune fille transformée en goule dans les rues de la capitale japonaise. Dans cette réalité alternative, ces êtres se nourrissent de chair humaine et sont capables de se déguiser en humains pour nous tromper.

Dans l'exploration spatiale, des questions éthiques inédites et troublantes émergent, notamment celle du cannibalisme parmi les astronautes dans des situations extrêmes.

La psychose du Wendigo est un syndrome psychologique rare et culturellement spécifique observée principalement parmi certaines communautés autochtones, en particulier les peuples algonquiens d’Amérique du Nord.

Une rigoureuse analyse archéologique et génétique indique que le cannibalisme était une pratique funéraire courante dans certaines régions d’Europe à la fin du Paléolithique supérieur.

Une maman singe a été vue en train de dévorer le cadavre de son bébé dans un zoo européen. Celle-ci aurait traîné le bébé singe mort pendant plusieurs jours avant de le consommer. Bien que cet acte puisse être considéré comme macabre et étrange, les scientifiques pensent qu’elle avait une raison assez particulière d’agir ainsi.

Alors qu’ils recherchaient des traces de morsures indiquant que des prédateurs préhistoriques chassaient nos lointains ancêtres, une équipe de paléoanthropologues a découvert les preuves les plus précoces de cannibalisme humain à ce jour.

Our Planet II, la dernière série documentaire Netflix de David Attenborough, étudie comment les animaux s'adaptent à notre planète en changement permanent. Certaines images incroyables montrent un crabe cannibale en train d'engloutir des bébés crabes en Australie.

Le cannibalisme chez le peuple des Fore est à l’origine du kuru, une maladie infectieuse rare qui affecte le système nerveux.

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