réchauffement climatique

Des températures élevées ont été enregistrées dans une bonne partie de l’Antarctique au cours des dernières semaines. D’une durée et d’une ampleur inhabituelles, cet épisode inquiète.

Si cet évènement peut sembler n’être qu’un fait divers mineur, c’est un autre signal d’alarme qui montre à quel point le réchauffement climatique menace déjà notre mode de vie et notre sécurité.

De récentes recherches ont révélé la présence de microbes dévoreurs de méthane dans l’écorce des arbres. Une découverte inattendue, soulignant une nouvelle fois l’importance de ces végétaux pour l’atténuation du changement climatique.

De nouvelles simulations prévoient une augmentation significative de la température des eaux souterraines d’ici la fin du siècle, ce qui la rendrait impropre à la consommation dans de nombreuses régions du monde.

Le Danemark va taxer les éleveurs de bétail locaux sur les gaz à effet de serre émis par leurs vaches, leurs moutons et leurs porcs à partir de 2030.

Il faut savoir que les mers et les océans sont déjà responsables de l’absorption d’environ 20 à 30 % de tout le CO2 de l’atmosphère.

De larges pans de forêts arctiques partent en fumée. Consécutif à une vague de chaleur et de sécheresse extrême, ces incendies comptent parmi les plus graves documentés au cours des dernières décennies.

L’iceberg a été nommé A-83 et s’étend sur 380 kilomètres carrés pour environ 150 mètres d’épaisseur.

De nouvelles données indiquent le tristement célèbre glacier antarctique Thwaites fond à une vitesse encore plus rapide que prévu, en raison de l’infiltration d’eau de mer chaude à sa base.

L’augmentation des niveaux de CO2 atmosphérique actuelle est 10 fois plus rapides qu’à tout moment au cours des 50 000 dernières années.

En 2011, cinq des six glaciers majeurs du Venezuela ont disparu. Le seul qui a survécu a été le glacier Humboldt, et il a également disparu cette année.

Ce nouveau type de matériau est doté d’une structure moléculaire unique qui pourrait permettre d’attirer et de piéger le dioxyde de carbone et les autres gaz à effet de serre, et ce, plus rapidement que les arbres.

Situé dans la taïga de l'est de la Sibérie, le cratère de Batagaï est considéré comme le plus grand méga-affaissement de la planète. Un titre qu’il consolide largement chaque année.

Également appelé un grolaire, des pizzly ou un grizzours, un grolar est le résultat d’un croisement entre un ours polaire et un grizzly.

Si 2023 a été l’année la plus chaude jamais enregistrée, le dernier rapport de l’Organisation météorologique mondiale (OMM) indique qu’elle a également été marquée par une perte de glace, une élévation du niveau de la mer, et des températures océaniques record.

Un nouveau rapport a mis en évidence trois régions du monde où la contamination radioactive d’origine américaine pourrait être perturbée par le changement climatique.

Les températures extrêmes et les évènements climatiques dues au réchauffement climatique ont entraîné une augmentation moyenne alarmante de 60 % du risque de naissance prématurée.

Le pergélisol agit comme une calotte naturelle, emprisonnant le radon et d’autres gaz dans la Terre. Sa fonte libère ces gaz dangereux.

Des chercheurs américains ont identifié de nouvelles bactéries prometteuses. Capables de transformer rapidement le CO2 en minéral solide, elles pourraient être utilisées pour séquestrer ce gaz à effet de serre à l'intérieur des gisements de combustibles fossiles épuisés.

La hausse des températures liée au changement climatique favorisent une propagation plus rapide de la Campylobacter.