Brûle-parfum, livre, citron et coquillages, par Meiffren Conte © Wikimedia / Musée des Beaux Arts de Marseille / Rvalette

Le boom des parfums

La médecine du Moyen Âge n’est pas réputée pour sa fiabilité. Face à l’épidémie, les saignées, l’usages de laxatifs, la cautérisation des bubons avec des lames non stérilisées ou encore les cataplasmes infectieux se multiplièrent, le plus souvent au détriment des malades. Côté prévention, on déconseilla avec une vigueur renouvelée la pratiques des bains (on pensait à l’époque que les maladies passaient par les pores de la peau)…ce qui favorisa en toute logique l’usage des parfums !

On pensait aussi, encore une fois à tort, que les herbes aromatiques avaient un effet bénéfique sur les malades. C’est donc à cette époque qu’est par exemple créée l’eau de Cologne. Pendant ce temps-là, le sud de la France se fait connaître pour ses eaux parfumées et ses plantes, lavande en tête.

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