réchauffement climatique

Si 2023 a été l’année la plus chaude jamais enregistrée, le dernier rapport de l’Organisation météorologique mondiale (OMM) indique qu’elle a également été marquée par une perte de glace, une élévation du niveau de la mer, et des températures océaniques record.

Un nouveau rapport a mis en évidence trois régions du monde où la contamination radioactive d’origine américaine pourrait être perturbée par le changement climatique.

Les températures extrêmes et les évènements climatiques dues au réchauffement climatique ont entraîné une augmentation moyenne alarmante de 60 % du risque de naissance prématurée.

Le pergélisol agit comme une calotte naturelle, emprisonnant le radon et d’autres gaz dans la Terre. Sa fonte libère ces gaz dangereux.

Des chercheurs américains ont identifié de nouvelles bactéries prometteuses. Capables de transformer rapidement le CO2 en minéral solide, elles pourraient être utilisées pour séquestrer ce gaz à effet de serre à l'intérieur des gisements de combustibles fossiles épuisés.

La hausse des températures liée au changement climatique favorisent une propagation plus rapide de la Campylobacter.

En 2023, la température moyenne mondiale a été supérieure de 1,48 °C à celle de la période 1850-1900, soit la plus élevée jamais enregistrée depuis le début des relevés en 1940, et probablement depuis 100 000 ans.

Les scientifiques ont lancé une sonnette d’alarme sur ce phénomène, car ces masses d’eau deviennent acides, ressemblant davantage à des eaux usées industrielles qu’à des ruisseaux de montagne aux eaux cristallines telles qu’elles l’étaient autrefois.

Ces ours se sont bien préparés pour leur hibernation, mais ne sont pas encore entrés dans leur état d’hypothermie régulée en raison des conditions environnementales anormalement chaudes.

Même si nous parvenions à atteindre un objectif de zéro émission nette – un scénario qui reste en soi un défi immense – les effets de nos émissions de gaz à effet de serre passé continueront de façonner la planète pendant des millénaires à venir.

À une époque caractérisée par une industrialisation rapide, des progrès technologiques exceptionnels et des aspirations humaines croissantes, nous oublions souvent qu’une menace inquiétante plane au-dessus de notre tête : le réchauffement climatique. Pourtant, les effets du changement climatique semblent empirer d’année en année. Malgré cela, nombreux sont ceux qui ne prennent pas cette menace au sérieux.

Face à la nouvelle règlement sur la suie de l’EPA, certaines entreprises concernées ont exprimé leur mécontentement.

De nouvelles estimations indiquent que le seuil des 2 °C de réchauffement mondial par rapport à l'ère préindustrielle a été franchi le 17 novembre dernier. Ce qui constitue une première depuis le début des relevés météorologiques.

La comparaison de photographies aériennes remontant jusqu’au années 1940 à des clichés satellite récents a fourni aux chercheurs un aperçu inquiétant de l’ampleur du recul des glaciers du Groenland depuis le début du XXIe siècle.

« Il s’agit de la preuve la plus solide et la plus définitive que nous ayons sur l’affaiblissement de ce courant océanique lié au climat », a déclaré Christopher Piecuch, auteur principal de l’étude.

Conséquence probable du réchauffement climatique, la croissance sans précédent de la vie végétale sur le continent antarctique suggère un inquiétant tournant climatique.

Des millions de crédits carbone sont générés en surestimant considérablement les niveaux de déforestation qu’ils évitent.

Exxon Mobil prédit que les limitations des émissions de gaz à effet de serre et les autres efforts visant à maintenir la température de la planète au-dessous d’une augmentation de 2 degrés Celsius d’ici 2050 sont voués à l’échec.

En Antarctique, la perte record de glace de mer enregistrée l’an passé a entraîné un échec reproductif catastrophique des colonies de manchots empereurs de la région de Bellingshausen.

Google a annoncé la mise au point une nouveau système d’intelligence artificielle, promettant de réduire significativement la quantité de traînées de condensation produites par les avions.