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Une série d’expériences a révélé un tout nouveau type de division cellulaire chez l’Homme, avec des implications pour notre compréhension du cancer et l’ingénierie tissulaire.

En étudiant une lignée de cellules cancéreuses du côlon, des chercheurs sud-coréens ont identifié des « interrupteurs génétiques » permettant essentiellement de les ramener à un état sain.

Récemment, des chercheurs, d'une équipe dirigée par le professeur Masaharu Takemura de l'Université des sciences de Tokyo, ont réussi à filmer pour la toute première fois un virus géant infectant une cellule.

Des scientifiques japonais ont modifié des cellules animales afin de les rendre photosynthétiques. Celles-ci pourraient révolutionner la culture d’organes et de tissus destinés à être transplantés, ou la production de viande en laboratoire.

La découverte d’un nouveau type de cellule impliqué dans la régénération des tissus et la formation de nouveaux vaisseaux sanguins pourrait ouvrir la voie à un meilleur traitement des plaies chroniques difficiles à guérir.

Des chercheurs américains ont créé des cellules synthétiques pouvant être facilement reprogrammées afin de remplir des fonctions hors de portée de leurs homologues naturelles.

L’implantation de cellules cérébrales de rat dans le cerveau de souris privées d’odorat à permis à ces dernières d’acquérir ce sens. Selon les chercheurs, il s’agit du premier exemple de perception au travers des neurones sensoriels d’une autre espèce.

Des scientifiques ont documenté un événement évolutif ne se produisant qu’une fois tous les milliards d'années : deux formes de vie fusionnant pour former un organisme aux capacités inédites.

Derniers représentants vivants du rhinocéros blanc du Nord, Fatu et Najin sont des femelles infertiles, mais de nouvelles recherches montrent que l’espèce pourrait être sauvée de l’extinction grâce à de cellules de peau congelée.

Alors qu’ils exploraient l’impact de la désactivation d’un récepteur clé chez des embryons de souris à mi-chemin de leur développement, des chercheurs ont observé un effet inattendu : le « remplacement » des structures génitales externes par une paire de pattes supplémentaires.

Plus qu’une simple image, cette percée a d’importantes implications pour le développement de traitements ciblés pour un large éventail de maladies, notamment le cancer et les troubles neurodéveloppementaux.

Une équipe de chercheurs sud-coréens et chinois a démontré l’efficacité d’un nouveau composé prometteur, entraînant une accumulation fatale de calcium à l’intérieur des cellules cancéreuses.

Une cartographie sans précédent a révélé la présence de plus 3 000 types de cellules différents au sein du cerveau humain, dont des centaines jusqu'alors inconnues de la science.

De récentes recherches ont conduit à la découverte d’un tout nouvel organite dans les cellules des mammifères. Composés d’anneaux d’ADN, il serait potentiellement impliqué dans les maladie auto-immunes.

Les différents types de cellules composant notre organisme contribuent à son bon fonctionnement. De récentes recherches ont permis d’établir leur nombre, qui s’avère assez vertigineux.

Appelées des astrocytes glutamatergiques, ces cellules hybrides nouvellement découvertes présentent à la fois des caractéristiques des astrocytes et des neurones.

Une équipe de chercheurs américains est parvenue à rajeunir des cellules humaines à l’aide d’un simple cocktail moléculaire, ouvrant la voie à des traitements anti-vieillissement plus accessibles que la thérapie génique.

S'inspirant des « nageurs » biologiques tels que les bactéries et les spermatozoïdes, les chercheurs ont mis au point un micro-robot capable de se déplacer dans le corps de manière autonome ou sous le contrôle d'un opérateur.

S’inspirant de la capacité de camouflage stupéfiante des céphalopodes, des chercheurs de l’université de Californie ont mis au point une nouvelle approche permettant de modifier la transparence des cellules humaines.

Une équipe de chercheurs de l’université de Californie a créé des cellules « cyborgs » semi-vivantes, capables de survivre dans des environnements trop extrêmes pour leurs homologues naturelles.