Chloe : « J’ai commencé à m’automutiler à l’âge de 13 ans, et ai continué jusqu’à aujourd’hui. Le problème de l’automutilation, c’est que ça devient de pire en pire et que l’on se fait de plus en plus de mal. C’est une addiction et un beau jour, on se rend compte que même la chirurgie plastique est inutile pour cacher ses blessures. La seule chose que l’on peut faire, c’est aimer ses cicatrices. Pour que toutes nos pensées négatives disparaissent, en même temps que la douleur qu’on en tire. Mes cicatrices racontent mon histoire, et je ne laisserai personne changer ça. »

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