cancer

Des chercheurs de l’université de Californie du Sud ont développé une nouvelle approche ciblée, utilisant l’édition génétique et des salves d’ultrasons pour éliminer efficacement les cellules cancéreuses.

Les cellules T constituent notre première ligne de défense contre le cancer, mais cette dure bataille a tendance à les épuiser. Des chercheurs ont identifié une approche permettant de les « recharger », avec des résultats précliniques prometteurs.

Des chercheurs de Stanford ont démontré l’efficacité d’une nouvelle approche anti-cancer innovante. Associant deux protéines, elle pousse essentiellement les tumeurs à s’autodétruire.

La chapelle Sixtine, chef-d’œuvre emblématique de Michel-Ange, continue de fasciner par ses fresques magistrales. Parmi elles, une scène particulière, intitulée « Le Déluge », suscite aujourd’hui une interrogation intrigante. Une jeune femme très peu vêtue se tient la poitrine, le visage apparemment figé dans l'agonie ou peut-être la résignation. Cette femme, peinte par Michel-Ange il y a plus de 500 ans, pourrait présenter les symptômes physiques d'un cancer du sein, selon une équipe internationale de scientifiques et d'historiens de l'art.

Une initiative scientifique ambitieuse apporte des informations cruciales sur la formation, l'évolution et la résistance des tumeurs cancéreuses. Outre de nouveaux outils et de nouvelles techniques pour les étudier, nous disposons aujourd'hui des cartes les plus complètes jamais créées pour un certain nombre de tumeurs.

La recherche a déjà montré que l’activité enzymatique du gène TET2 est un suppresseur tumoral et que la mutation de ce gène est associée au cancer.

Le stéréotype concernant la santé de fer des baby-boomers n’est qu’un mythe. En effet, même si les baby-boomers vivent plus longtemps, ils vivent en moins bonne santé par rapport aux générations précédentes.

L’astuce en question conseille aux gens de ne pas porter de crème solaire si l’on souffre d’acné, car la brûlure provoquée par le soleil serait l’arme ultime pour éliminer les boutons. Cela s’appelle notamment le « sunburning ».

Des chercheurs de l’université Stanford ont réalisé une avancée majeure, en parvenant à conditionner sous forme de simples comprimés oraux des composés qui devaient jusqu’à présent être administrés par voie intraveineuse.

Les souris ayant moins de Prevotella (un microbe intestinal) sont moins sujettes au déclin cognitif et plus sujettes au cancer du côlon.

Les résultats des analyses ont montré que certains antidépresseurs testés – mais pas tous – étaient étonnamment efficaces contre les cellules tumorales.

Une série d’expériences a montré qu’un verre bioactif présentant une certaine concentration de gallium éradiquait la quasi-totalité des cellules cancéreuses osseuses sans endommager les cellules saines environnantes.

Une équipe internationale de chercheurs a récemment découvert une nouvelle structure de lumière appelée vortex chiral. Ce résultat pourrait avoir des implications considérables pour la création de nouveaux médicaments, ainsi que pour le diagnostic de certaines maladies graves.

Une vaste méta-analyse menée par l’OMS n’a noté aucun lien clair entre l’utilisation des téléphones portables, ayant explosé au cours des dernières décennies, et les cancers du cerveau.

Il y a de plus en plus de preuves qui indiquent que les personnes de grande taille courent un risque plus élevé de développer un cancer du pancréas, du gros intestin, de l’utérus, des ovaires, de la prostate, du rein, de la peau (mélanome) et du sein.

Cette protéine – appelée DdrC (pour « DNA Damage Repair Protein C ») – a été découverte dans une bactérie assez commune appelée Deinococcus radiodurans.

L'American Cancer Society (ACS) alerte : d'ici 2050, le nombre de décès par cancer chez les hommes devrait augmenter de 93% au niveau mondial.

Ces produits cancérigènes sont présents en abondance dans notre environnement, mais aussi dans notre corps.

Cette bactérie a la capacité de tuer les cellules tumorales associées au cancer de la tête et du cou.

Représentant environ 8 % du génome humain, ces traces d’ADN viral ont été laissées par d’anciens virus qui ont infecté les ancêtres des primates il y a des dizaines de millions d’années.