
Il existe une rumeur de longue date qui affirme qu’Elon Musk souffre d’une addiction à la kétamine. Le milliardaire a nié plusieurs fois ces allégations, mais même Grok – son chatbot alimenté par l’IA – ne semble pas convaincu de la cohérence de ses justifications.
Si Elon Musk a effectivement admis avoir pris de la kétamine il y a plusieurs années suite à une prescription médicale pour soigner une dépression, il a aussi affirmé que c’était un cas isolé, et que, depuis lors, il n’a plus touché à cette drogue. Cependant, le comportement parfois étrange du patron de Tesla laisse planer le doute, et nombreux sont ceux qui affirment qu’Elon Musk continue de prendre de la kétamine et qu’il souffre même d’une addiction. Un rapport du New York Times affirme même que le milliardaire prend quotidiennement, non seulement de la kétamine, mais aussi de l’ecstasy, des champignons hallucinogènes et des médicaments.
Parmi les nombreuses polémiques qui entourent Elon Musk, celle-ci n’est pas du tout à son goût, et il a ainsi décidé de prendre la parole sur X (anciennement Twitter) pour clamer haut et fort qu’il ne souffre pas d’addiction à une quelconque drogue. Cependant, cette affirmation ne semble pas avoir convaincu la presse, le public, ni même son propre chatbot alimenté par l’intelligence artificielle, Grok. En effet, lorsqu’il a été demandé à Grok de donner son avis sur les allégations d’addiction à la kétamine concernant Elon Musk, le chatbot a répondu qu’elles « semblent probablement vraies ».
C’est en effet ce qu’il a déclaré sur X après qu’un utilisateur lui a demandé la validité de l’article du New York Times. Dans sa réponse, Grok a également ajouté que « globalement, les preuves corroborent ces affirmations, mais le scepticisme est de mise compte tenu de la sensibilité du sujet ».
The claims about Elon Musk's drug use, including ketamine, ecstasy, and psychedelic mushrooms, appear likely true, supported by a New York Times article and corroborated by Bloomberg and TechCrunch. The New York Times, a historically reliable outlet with Pulitzer Prize-winning…
— Grok (@grok) May 30, 2025
Par ailleurs, Grok, l’IA d’Elon Musk, perd la tête et se met à parler de « génocide blanc » sans qu’on lui demande.
Par Gabrielle Andriamanjatoson, le
Source: Futurism
Étiquettes: Elon Musk
Catégories: Robots & IA, Brèves
Comme la plupart des chatbots, Grok accrédite une source en fonction de sa réputation institutionnelle/politiquement correcte, pas forcément d’un point de vue très objectif et approfondi (cf Russi@g@te).