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Une composition inédite de Mozart découverte en Allemagne

Plus de deux siècles après sa mort, le musicien autrichien nous réserve encore des surprises

Mozart

Mozart était et reste l’un des maîtres incontestés de la musique classique. Même à notre époque, les œuvres du compositeur autrichien sont encore très prisées. C’est ainsi avec une grande surprise et une grande joie qu’une de ses compositions perdues a été retrouvée.

Des chercheurs allemands ont récemment découvert une composition perdue de Wolfgang Amadeus Mozart, 233 ans après sa mort. La composition a été retrouvée dans les archives de la Bibliothèque municipale de Leipzig. Cette bibliothèque se trouve à environ 450 kilomètres de Salzbourg, en Autriche, la ville natale de Mozart. D’après l’annonce officielle de la Bibliothèque municipale de Leipzig, la composition intitulée Sérénade en ut majeur est pour un morceau musical d’environ 12 minutes. Il a également été déterminé que le manuscrit date des années 1780. Le musicien avait une vingtaine d’années à cette époque.

Cependant, les experts ont estimé que l’œuvre partage des caractéristiques avec les pièces de Mozart de ses années préadolescentes, à la fin des années 1760. D’autres indices de la pièce indiquent que Mozart a initialement réalisé cette composition alors qu’il ne devait avoir qu’entre 10 et 13 ans. S’il est vrai que c’est très impressionnant, c’est moins étonnant lorsqu’on sait que ce musicien de génie a commencé à composer des œuvres musicales à l’âge de seulement cinq ans. En ce qui concerne les détails de la composition, elle se compose de sept mouvements miniatures pour un trio à cordes composé de deux violons et d’une basse.

Suite a sa découverte, la Sérénade en ut majeur a été rebaptisée Ganz kleine Nachtmusik et a été officiellement interprétée par Vincent Geer, David Geer et Elisabeth Zimmermann de l’orchestre symphonique des jeunes de l’École de musique de Leipzig. Par ailleurs, voici 14 faits passionnants sur le virtuose Wolfgang Amadeus Mozart.

Par Gabrielle Andriamanjatoson, le

Source: Smithsonian Magazine

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