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L’Australie va recommencer à abattre 14 000 chevaux sauvages par hélicoptère

Ces animaux endommageraient les écosystèmes des parcs nationaux australiens

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— Constantin Stanciu / Shutterstock.com

Les paysages à couper le souffle de l’Australie abritent une faune sauvage très diversifiée, et parmi elle se trouve une population de chevaux sauvages, descendants d’animaux domestiques en fuite. Ces créatures sont malheureusement devenues un symbole de déséquilibre écologique, et les autorités locales prévoient de les abattre en grand nombre.

En Australie, la question des chevaux sauvages présente un défi écologique complexe. Ces chevaux, descendants d’animaux domestiques amenés par les colons européens, se promènent librement dans divers paysages, affectant ainsi les écosystèmes délicats. Leur nombre incontrôlé a conduit au surpâturage, à l’érosion des sols et à des dommages aux sources d’eau, mettant en péril la flore et la faune indigènes. Malgré leur importance culturelle et leur valeur symbolique, la population croissante de chevaux sauvages a suscité des débats enflammés, surtout concernant les programmes d’abattage pour réduire le nombre de ces animaux dans la nature.

Récemment, le gouvernement de la Nouvelle-Galles du Sud a autorisé un programme de tirs aériens visant à abattre une population de chevaux sauvages dans l’un de ses plus grands parcs nationaux. Cette méthode d’abattage a été adoptée dans le cadre d’un mandat de l’État visant à réduire le nombre de chevaux dans le parc national de Kosciuszko de 17 000 à 3 000 d’ici 2027. Ces tirs aériens impliqueraient que des agents tirent sur les chevaux depuis des hélicoptères ; une tactique que le gouvernement local a déjà testée en novembre.

Alors que les autorités locales jugent que cette mesure est absolument nécessaire, divers organismes et défenseurs des droits animaliers dénoncent un cas aberrant de cruauté envers les animaux. Par ailleurs, l’Australie a fait appel à des robots tueurs pour éliminer six millions de chats sauvages.

Par Gabrielle Andriamanjatoson, le

Source: IFL Science

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    • Example typique de l’écologiste de base. Ne pas comprendre l environnement l’écosystème qui l’entoure mais faire une remarque en dehors de sa matière grise. Pour info, il y a 20millions d’australiens, retire les du continents, et bien surprises, dans 20ans la moitié de l’écosystème a quand même disparu.

  • Lorsqu il n y aura plus d animaux éradiqués par l homme, bourreau de la faune et la flore, que tuera ce bipède ??? Les australiens sont des monstres comme tous les humains. Tout les dérange, il faut qu ils tuent, emprisonnent, torturent !!! Et l humain n est il pas de trop sur cette planète qu il détruit à chaque seconde ?? L homme se croit roi sur cette terre, et pense être le seul à jouir de ce monde. Les animaux sont les âmes de la terre, l humain est le cancer de ce monde.