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L’analyse d’échantillons de sédiments prélevés au fond de l’océan Pacifique a révélé des concentrations inattendues d’un isotope étroitement liées aux explosions stellaires.

En sondant l’une des principales galaxies satellites de la Voie lactée, des astronomes ont repéré un astre présentant une concentration infime d’éléments lourds, suggérant qu’il s’agisse d’un descendant directe des toutes premières étoiles de l’Univers.

À un peu plus de 600 années-lumière de la Terre, des astronomes ont observé une « frénésie alimentaire » record. Impliquant une planète errante, elle brouille un peu plus la frontière entre ce type d’objet et les étoiles.

L’étude approfondie d’une salve d’ondes radio captée l’année dernière a révélé une origine remarquablement lointaine. De futures détections similaires contribueront à éclairer l’évolution précoce du cosmos.

Au cours des 4 000 dernières années, l’étoile supergéante DFK 52 a expulsé une quantité de matière équivalente à environ 0,1 à 1 fois la masse du Soleil. Ce processus a donné naissance à une immense bulle de gaz et de poussière dans un amas stellaire dense. Cette découverte intrigue particulièrement les astronomes en raison des similitudes entre cette étoile et Bételgeuse, une autre supergéante bien connue.

L’observation d’une étoile géante a révélé qu’elle se trouvait au cœur d’une bulle géante de poussière et de gaz. D’un diamètre de moitié inférieur à celui du Système solaire, cette structure ne peut actuellement être expliquée.

Cette licorne cosmique est unique en son genre parce qu’elle émet constamment des sursauts radio avec une trajectoire parfaitement circulaire.

Grâce au télescope spatial James-Webb et à l’ALMA, des astronomes ont observé les premières étapes de la formation de planètes autour d’une jeune étoile semblable au Soleil.

Depuis sa détection, le visiteur interstellaire 3I/ATLAS est suivi de près par les astronomes. De nouvelles données indiquent que cette comète massive provient d’une région lointaine, très lointaine, de notre galaxie.

Des astronomes ont obtenu les premières preuves visuelles d’un phénomène stellaire aussi violent que bref : la « double détonation » d’une naine blanche dans une galaxie voisine.

Intervenue dans une galaxie lointaine, une explosion cosmique remarquable a récemment été attribuée au déchiquetage d’une étoile géante par un trou noir supermassif.

Les scientifiques de l’Académie chinoise des sciences ont décrit la découverte d’un type très rare de système d’étoiles binaires, dans lequel une étoile orbite à l’intérieur d’une autre étoile.

Découvert dans la Voie lactée grâce au réseau de radiotélescopes Australian Square Kilometre Array Pathfinder (ASKAP), ce corps céleste a été surnommé « Teleios », d’après le mot grec signifiant « parfait ».

Après deux décennies d’observation, des astronomes ont percé les secrets d’un intrigant système situé à une soixantaine d’années-lumière de la Terre, à la dynamique inhabituelle.

Grâce au télescope spatial Hubble, des scientifiques de l’Université de Californie à Berkeley ont réussi à observer un phénomène astronomique connu sous le nom d’évènement de rupture par effet de marée.

L’Univers ne cesse de nous surprendre, et cette fois, c’est la voix silencieuse d’une étoile voisine qui a captivé les astronomes. Située à seulement 21 années-lumière de la Terre, HD 219134, une étoile orangée plus âgée que notre Soleil, a révélé sa structure interne grâce à ses subtiles vibrations. Ces oscillations naturelles, comparables à une chanson propre à chaque étoile, ont été captées non pas par l’observation de sa luminosité, comme c’est souvent le cas, mais par l’analyse précise de ses légers mouvements.

De nouvelle recherches menées par une équipe de chercheurs néerlandais indiquent que l’Univers se désintègre beaucoup plus rapidement qu’estimé précédemment. Pas d’inquiétude cependant, nous aurons (très probablement) disparu bien avant.

Près d’un centre de notre galaxie se cache une structure filamenteuse géante qui intrigue depuis longtemps les astronomes. De récentes observations ont permis d’élucider l’origine de sa principale fracture.

Environ un millier d’étoiles, issues du même berceau stellaire, sont en train de se disperser à une vitesse fulgurante, défiant les modèles classiques de formation et d’évolution des amas stellaires. Baptisé « Ophion », cet étrange regroupement d’étoiles remet en question ce que l’on pensait savoir sur la dynamique des jeunes systèmes stellaires.

Récemment, des astronomes ont découvert que le magnétar SGR 0501+4516 traverse notre galaxie à plus de 177 000 km/h. Cette vitesse inhabituelle suggère qu'il n'est pas né comme prévu.