Sciences humaines

Au cours des dernières années, un mouvement social en faveur de l'acceptation de l'asexualité a vu le jour, illustré par la présence croissante de personnages asexués dans les séries télévisées. Cependant, malgré cette visibilité accrue, l'asexualité reste souvent mal comprise.

Si nous savons tous qu’il existe ainsi une certaine distorsion temporelle psychologique, il existe un autre facteur personnel important qui influence la perception du temps : le facteur culturel, notamment la langue que nous parlons.

Il s’agit d’un phénomène psychologique – plus précisément, d’un biais cognitif – dans lequel notre impression globale d’une personne influence nos perceptions de ses traits ou capacités spécifiques.

Les personnes avec un score élevé de psychopathie sont moins susceptibles de bouger la tête lorsqu’elles s’expriment. Si cette forme subtile de communication non verbale avait été précédemment mise en évidence chez des sujets masculins, de nouveaux travaux indiquent qu’elle concerne également les femmes.

Les enfants qui entendent davantage les adultes parler ont tendance à parler davantage eux-mêmes.

Le bon sens est en réalité moins collectif qu’on ne le pense et est davantage axé sur les perspectives personnelles.

En plus d’être plus nombreuses que les hommes, les statistiques disent que partout dans le monde, les femmes ont tendance à vivre plus longtemps que les hommes. En effet, malgré les inégalités sociales qui sont généralement en leur défaveur, les femmes ont une meilleure espérance de vie que les hommes. Quant à savoir pourquoi, cela s’explique notamment par les hormones, mais aussi le comportement des femmes.

40 % des gens choisissent délibérément l’ignorance lorsqu’elles ont l’opportunité d’apprendre l’impact de leurs actions sur les autres.

Nous prononçons des milliers de mots chaque jour. Si la parole constitue une caractéristique fondamentale des sociétés humaines, ses origines restent encore à ce jour relativement obscures.

L'analyse du désir sexuel féminin évolue au gré des avancées scientifiques, qui démantèlent les préjugés pour faire émerger une compréhension affinée. La science éclaire désormais ce domaine avec une précision accrue, révélant la richesse et la complexité de la sexualité féminine.

Dans le monde, une personne sur dix serait gauchère. Une particularité dont les conséquences sont plus importantes qu’on ne le croit. Du mode de vie des gauchers aux croyances populaires, le DGS vous présente cette différence si  particulière !

De nouvelles expériences renforcent l’idée que le cerveau des gardiens de but traite et sépare plus efficacement les informations visuelles et auditives que celui des joueurs de champ et des non-footballeurs.

Il existe un groupe d’individus qui peuvent porter des jugements rapides et sévères sur la personnalité et les compétences des autres juste en fonction des traits de leur visage et de leur expression.

Pour communiquer les uns avec les autres, les humains utilisent diverses formes de langage et d’expression, dont le langage corporel. Il s’agit d’une part très importante de la communication, mais l’interpréter est moins évident qu’on ne le pense.

Selon la science, le coup de foudre s’apparente plus à l’attirance sexuelle et à l’attraction.

Si les femmes sont effectivement plus polyvalentes par rapport aux hommes, cet attribut les exposer davantage au risque de se blesser à cause d’un accident lié à l’inattention.

Quand on s'étire en bâillant, on appelle ça de la pandiculation.

En termes simples, lorsqu’une personne tombe amoureuse, des substances neurochimiques comme la dopamine (hormones du bonheur) et l’ocytocine (hormone de l’amour) envahissent le cerveau.

Nous avons tous connu des moments où nous nous retrouvons seuls avec nos pensées, sans rien à faire ni à regarder. Ces moments peuvent être perçus comme du temps perdu, ou au contraire comme une occasion de laisser vagabonder notre esprit. Selon une étude récente, les personnes créatives savent mieux profiter de ces moments d’ennui pour explorer des idées nouvelles et originales.

Les individus solitaires ont une activité cérébrale significativement différente de celle des individus non solitaires, mais encore plus différente les unes des autres.