Le 21 octobre restera un grand jour dans la lutte pour améliorer le bien-être des animaux. En effet, députés et sénateurs sont parvenus à s’entendre pour mettre fin à plusieurs pratiques qui contribuent à la maltraitance animale en France. Cet accord va bientôt marquer la fin des élevages de visons, des animaux sauvages dans les cirques, des cétacés dans les delphinariums ou la vente de chiens et de chats en animalerie.
Un texte historique en faveur de la condition animale en France
C’est une grande victoire pour les défenseurs des animaux ! Le jeudi 21 octobre, députés et sénateurs on trouvé un accord sur le texte contre la maltraitance animale ! Un texte qui va bientôt signer la fin des animaux sauvages dans les cirques, des cétacés dans les delphinariums, de la vente de chiens et chats en animalerie mais aussi la fin des élevages de visons.
Le Premier ministre Jean Castex a déclaré sur Twitter partager « la fierté de tous les parlementaires qui ont rendu ce texte possible », ajoutant que « le bien-être animal est une préoccupation centrale pour nos concitoyens ».
De plus, la majorité des Français souhaitent un meilleur bien-être pour les animaux et pensaient que le gouvernement n’en faisait pas suffisamment pour améliorer la condition animale. C’est donc un jour historique en faveur de la condition animale en France et ce texte apporte enfin de grandes avancées pour la cause animale. Voici les principaux points qu’il faut retenir.
Les points importants à retenir
Ce texte marque donc la fin progressive des animaux sauvages dans les cirques. Ours, tigres, éléphants… dans un délai de deux ans, les cirques ne pourront plus acquérir d’animaux sauvages et dans sept ans, ils devront s’en séparer définitivement. Il est vrai que les délais sont assez longs mais c’est pour laisser le temps aux refuges d’organiser l’accueil des animaux dans les meilleures conditions possibles.
En ce qui concerne les delphinariums, la détention de cétacés sera prohibée dans un délai de cinq ans. Le parc Astérix ayant déjà fermé son delphinarium, cette annonce concerne donc le Marineland d’Antibes et Planète Sauvage à Port-Saint-Père, en Loire-Atlantique.
Autre bonne nouvelle : les élevages de visons et des autres espèces non domestiques élevées pour leur fourrure prendront également fin. Des enquêtes ont déjà révélées que les visons notamment sont torturés pour fabriquer des manteaux. De plus, la situation sanitaire des élevages est catastrophique. Les déjections s’accumulent dans les cages minuscules où les animaux s’entassent les uns sur les autres. Certains doivent même coexister avec les cadavres décomposés de leurs congénères…
Enfin, dernière information importante à retenir : dès le 1er janvier 2024, il ne sera plus possible d’acheter un chien ou un chat en animalerie. L’exposition d’animaux en vitrine ne sera également plus permise. Ce dernier point vise à éviter l’achat d’animaux sur un coup de tête qui conduit par la suite à de nombreux abandons. Les refuges de la SPA on été saturés à cause de l’explosion des abandons d’animaux lors de l’été dernier. La vente en ligne d’animaux sera également mieux encadrée.
Et vous, que pensez-vous de ces avancées majeures en faveur de la condition animale en France ?
Par Jasmine Foygoo, le
Source: Huffington post
Étiquettes: bien-etre-animal, maltraitance-animale, delphinariums, Animalerie, cirque, loi
Catégories: Actualités, Animaux & Végétaux
refuges pour cétacés où et comment impossible, a vous allez les tuer!nimaux sauvages
Très bonne mesure ! Ces animaux sauvages sont faits pour vivre dans leur milieu : la savane pour les lions et autres félins , les éléphants etc . Les seuls animaux qu’on accepte dans les cirques et spectacles divers : les chiens qui sont très joueurs , même les chats , les perruches , les colombes …les chevaux …
Les chats, chiens et visons ok, mais les autres ils vont se retrouver où ?
Rien sûr la corrida et la chasse à courre.