La maladie d’Alzheimer pourrait finalement ne pas être une maladie du cerveau, selon un expert.
Les propriétés de la bêta-amyloïde
Depuis des années, les chercheurs se concentrent sur l’élaboration d’un remède contre l’Alzheimer. Leur priorité est de découvrir un remède pouvant empêcher la formation d’amas sans endommager le cerveau. Des études se sont portées sur la bêta-amyloïde. Dans l’une d’elles, les chercheurs n’ont pas pris en considération les autres théories et se sont concentrés sur la bêta-amyloïde. De ce fait, le laboratoire du Krembil Brain Institute, qui fait partie du Réseau universitaire de santé de Toronto, a avancé une nouvelle théorie sur cette maladie.
D’après les chercheurs, la maladie d’Alzheimer ne serait pas une maladie du cerveau. En effet, ils ont émis cette hypothèse à partir des 30 dernières années de recherche. Les experts du laboratoire affirment donc que cette maladie serait due aux troubles du système immunitaire dans le cerveau. En effet, chaque organe de notre corps est composé d’un système immunitaire qui l’aide à réparer les blessures et combattre les cellules étrangères. Cela se produit également dans le cerveau lorsque des bactéries ou une blessure surviennent dans le système nerveux.
Diverses théories sur l’origine d’Alzheimer font surface
Les recherches ont aussi suggéré que la bêta-amyloïde serait une protéine d’origine normale produite par le système immunitaire du cerveau. En effet, lorsque des bactéries entrent en contact avec le cerveau, la bêta-amyloïde passe à l’action. Mais en raison de la similitude entre les molécules de graisse qui composent la membrane des bactéries et la membrane des cellules cérébrales, la protéine n’arrive pas à faire la différence entre les bactéries et les cellules cérébrales. De ce fait, la protéine attaque les cellules au lieu des bactéries, causant ainsi la perte progressive des cellules cérébrales. Il faut savoir que cette perte cause la démence.
La protéine bêta-amyloïde serait donc à l’origine d’une attaque mal dirigée du système immunitaire dans le cerveau. C’est pourquoi la maladie d’Alzheimer serait considérée comme maladie auto-immune. Malgré cela, les médicaments traditionnels utilisés pour le traitement des maladies auto-immunes ne fonctionnent pas sur l’Alzheimer. Une autre recherche affirme que l’Alzheimer serait causé par de minuscules structures cellulaires appelées mitochondries. En effet, les mitochondries ne sont rien d’autre que les convertisseurs d’oxygène et des glucoses alimentaires en énergie. C’est cette énergie qui va alimenter la mémoire et la réflexion. D’autres suggèrent que la maladie serait causée par une manipulation anormale des métaux essentiels dans le cerveau qui sont le zinc, le cuivre et même le fer.
Par Arielle Lovasoa, le
Source: Science Alert
Étiquettes: cerveau, alzheimer
Catégories: Actualités, Santé
La science-en-ligne, toujours à la bourre dans le relai des infos…
Les autres hypothèses concernant les causes de l’Alzheimer ne datent pas d’hier, elles ont même été suggérées très peu de temps après la déclaration quasi mondiale (comme le covid19 manipulé…) d’une « épidémie d’Alzheimer ». Oui, les faiseurs de trouilles ne reculent devant aucune enflure sémantique !
La 1ère hypothèse est invalide, car en vérité le système immunitaire (quand il n’a pas été torpillé par des tests en thérapie génique…) sait parfaitement faire le distingo entre la membrane lipidique des neurones et celle d’une protéine étrangère ou réactionnaire intra organique. Le raisonnement de cette 1ère hypothèse tient à l’ignorance absolument sidérale de la médecine qui, lorsqu’elle ne comprend pas la fonction d’un organe, déclare ce dernier « inutile » ! Ce qu’ils firent allègrement avec les amygdales qui ne servaient parait-il à rien (sic) puis les végétations et enfin l’apendice qu’il fallait enlever à tout prix. L’ignorance est toujours mère du pire…
L’Alzheimer est ce qu’avant, on appelait « démence sénile » et il y a plus de chances que cette démence engendrée par une réaction inflammatoire de l’organisme qui fabrique des protéines envahissantes pour protéger de facto des neurones exposés voire déjà abimés par :
… quand il y a trop d’encrassement de toutes sortes dans un organisme la seule façon dont dispose l’organisme pour limiter les dégâts et de stocker la crasse vers les extrémités du corps…. comme un plongeur en apnée qui apprend à concentrer l’oxygène vers les organes vitaux du corps rendant de facto les extrémités froides !
Evacuer la merde, l’encombrant, les produits de l’inflammation chronique vers le cerveau est une façon désespérée pour un corps de sauver bon an mal les meubles. Torpiller les neurones pour sauver les organes vitaux. Ce qui permet de rappeler en passant que contrairement aux croyances gravement enracinées chez les scientifiques occidentaux, le cerveau n’est pas un organie vital mais essentiellement fonctionnel au sens d’une interface en terme de relation avec l’extérieur. Alors que coeur, foie, poumons, pancréas sont vitaux à la survie !
Un cerveau qui passe dans une autre dimension déconne, oui, mais l’organisme peut continuer à vivre.
La hiérarchie naturelle est là, toujous là, et se heurter au Réel est le destin inévitable des scientistes qui entendent faire la leçon au reste du monde au nom de leur Raison par trop raisonnante en limité !è
Bonjour.
OK, c’est votre position.
J’ai juste une question :
Vous parlez de « ingurgitation massive de molécules chimiques ». Existe-t-il des molécules pas chimiques ?