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6. T. gondii serait lié à la schizophrénie et à d’autres troubles neurologiques
Chez certains animaux, des changements comportementaux sont notables, mais ce serait également le cas chez l’Homme. Une infection pourrait conduire au développement de troubles schizophrènes ou bipolaires. Une étude parue en 2006 suggère que les bébés infectés in utero auraient des taux de schizophrénie plus élevés que ceux qui n’ont pas contracté la maladie.
Ces changements de comportement sur les humains pourraient être dangereux : les infections de ce type pourraient rendre les gens plus agressifs et impulsifs, augmentant ainsi la probabilité de suicide.