Aller au contenu principal

L’ouragan Helene prive des millions de personnes d’électricité et les plonge dans le noir

Dans la région de Big Bend, en Floride, les vents sont allés jusqu'à 225 km/h

ouragan Helene
© National Weather Service

Alors que l’ouragan Helene a ravagé le sud-est des États-Unis, des millions de personnes ont été privées d’électricité. Plusieurs jours après, beaucoup étaient toujours dans un noir inquiétant. Explications.

L’ouragan Helene a ravagé le sud-est des États-Unis en septembre 2024. Il a laissé un sillage de destruction s’étendant de la péninsule du Yucatán jusqu’au Midwest des États-Unis. Dans la région de Big Bend, en Floride, les vents sont allés jusqu’à 225 km/h, des bâtiments ont été détruits et des lignes électriques ont été arrachées. Dans certaines zones, 90 % des maisons ont été détruites. Par ailleurs, au moins 191 personnes ont perdu la vie, ce qui en fait l’ouragan le plus meurtrier à avoir frappé les États-Unis depuis Maria en 2017.

Comme le montre la photographie publiée par le National Weather Service et que vous pouvez découvrir ci-dessus, des pannes de courant ont eu lieu dans certaines parties du nord de la Floride, du sud de la Géorgie et de la Caroline du Sud et du Nord.

Robert Gaudet, fondateur et PDG de la Cajun Navy, une équipe bénévole de sauvetage et d’intervention en cas de catastrophe, a déclaré que c’était « pire que tout ce (qu’il) avait vu. Quand des mètres de boue remplissent les propriétés et les maisons et qu’une ville entière est emportée par un lac c’est là que vous pouvez voir la destruction et les dégâts. Vous perdez très vite le sens de la vie telle qu’elle était et telle qu’elle est pour vous. Nous apportons beaucoup d’aide aux sinistrés et entendre que plus de 100 personnes ont perdu la vie, et que ce sont celles qui ont été sauvées jusqu’à présent, ​​c’est vraiment horrible. »

Pour aller plus loin, voici pourquoi les tempêtes et les ouragans portent un nom.

Par Cécile Breton, le

Source: ZME Science

Étiquettes:

Catégories: ,

Partager cet article

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *