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11 plats du monde pour lesquels il faut avoir l’estomac bien accroché

Et bon appétit bien sûr !

Chaque pays possède ses propres spécialités culinaires. Si certaines d’entre elles s’exportent partout dans le monde et plaisent à un grand nombre de personnes, d’autres, beaucoup plus « exotiques », ont bien du mal à séduire… Il faut dire que certains plats peuvent paraître très étranges à ceux qui n’y sont pas habitués. Vous avez l’estomac bien accroché ? 

LE HUITLACOCHE

Le maïs est apparu au Mexique, il y a plus de 7000 ans, rien de surprenant alors à ce qu’il existe des centaines et des centaines de façons de le cuisiner. Mais une « recette » en particulier a attiré notre attention, celle du huitlacoche. Il s’agit, en réalité, d’un maïs infesté par… un champignon. Plus connu sous le nom de « charbon de maïs », celui-ci a une saveur particulièrement boisée, voire terreuse, lorsqu’il est cuit et est consommé généralement en quesadillas.

LE BALUT

Spécialité culinaire de l’Asie (plus particulièrement de la Chine, du Cambodge ainsi que du Viêt Nam), le balut a de quoi répugner les personnes qui n’en ont jamais goûté par son apparence : en effet, ce plat consiste à cuire à la vapeur un œuf de cane, de poule ou de caille, incubé et dans lequel le fœtus est déjà formé.

LES FAUSSES MORILLES

Mortelle, la « fausse morille » possède néanmoins un goût tout à fait extraordinaire. Interdite dans la plupart de l’Europe, elle est consommée néanmoins en Finlande qui n’hésite pas à prendre des risques pour savourer ce délice. Dû à sa dangerosité, ce mets requiert une préparation très minutieuse : il est généralement séché et étuvé au moins deux fois. Pourtant, cela ne suffit pas à supprimer toute la toxicité de ce produit et cela peut donc avoir quelques effets secondaires sur les personnes qui en ingèrent.

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Par Mathilde Rochefort, le

Source: BBC

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  • Quand j’étais plus jeune, mes grands-parents avaient l’habitude de s’arrêter dans un bar dans les Alpes pour y boire de la liqueur de vipère, avec le fameux serpent à l’intérieur de la bouteille ! C’est aussi avec eux que j’ai pu manger du chevreuil, du renard, du chat sauvage, des escargots…