59 sarcophages intacts ont été retrouvés samedi 3 octobre en Égypte. Les trésors proviennent de la nécropole de Saqqarah, au sud du Caire. Il s’agit de la plus grosse découverte archéologique depuis le début de la crise du coronavirus dans le pays.
Une incroyable découverte en Égypte
Des archéologues ont révélé samedi avoir fait une extraordinaire trouvaille dans la nécropole de Saqqarah. Classé au patrimoine mondial de l’Unesco, le site abrite la nécropole de la capitale de l’Égypte ancienne, Memphis, rappelle Le Monde.
Les experts ont découvert pas moins de 59 sarcophages en parfait état et scellés, ensevelis il y a plus de 2 500 ans. Sur les lieux, Khaled el-Enany, ministre égyptien du Tourisme et des Antiquités, indique : « Il y a près de trois semaines, nous avons trouvé 13 sarcophages scellés et intacts et, la semaine suivante, nous en avons annoncé quatorze supplémentaires. »
Il déclare officiellement : « Nous annonçons aujourd’hui que 59 sarcophages (en tout) ont été retirés du puits » funéraire situé près de la pyramide à degrés de Djéser, la première pyramide de l’ère pharaonique, soit il y a 4 700 ans. Pour le ministre, « ce n’est pas la fin de la découverte, je considère que c’est le début d’une grande découverte ». Selon lui, il reste « un nombre inconnu de sarcophages » dans d’autres puits, relate 20 Minutes.
Que sait-on sur ces sarcophages ?
Selon les archéologues, les sarcophages en bois ont été retrouvés à 12 mètres de profondeur. Ils dateraient de la XXVIe dynastie de l’Égypte ancienne, soit durant les VIe et VIIe siècles avant J.-C. Ces derniers renferment probablement les dépouilles de prêtres, de responsables politiques de haut rang et de personnalités.
La présence de la presse a permis aux experts d’ouvrir un sarcophage. Ce dernier a révélé une momie parfaitement conservée ornée de hiéroglyphes colorés. Ces trouvailles seront exposées dans une salle au Grand Egyptian Museum qui doit être inauguré fin 2021. En plus des sarcophages, les archéologues ont récupéré des dizaines de statues, dont une figurine en bronze du dieu de la fleur de lotus de la résurrection et de l’immortalité, Néfertoum.
Suite à cet événement, le pays espère attirer le public et relancer le tourisme. Le pays a vécu une période difficile avec la révolution de 2011 et la pandémie de coronavirus.
Par Justine Dumont, le
Source: 20 minutes
Étiquettes: égypte ancienne, Saqqarah, sarcophages
Catégories: Actualités, Histoire
Fabuleux pour Nous …. mais, en fait, une violation de sépulture pour une autre culture !
Quasi aucun « apport scientifique » … juste un but purement mercantilo-journalistico-touristique !
C’est AUSSI « cela » la logique et la suprématie « occidentale » (?) … le droit au nom de la « science » de piller des tombes d’autres civilisations … par curiosité scientifique ( une curiosité mal placée ?)
Avec un peu d’imagination …on sent que la « gauche » bien pensante à encore de la marge de manœuvre pour fustiger les « infâmes Blancs » (?!)(comprendre les infâmes scientifiques-Blancs !) , leur » infâme civilisation » (!) , leur « infâme curiosité touristique » (!), leur « infâme capitalisme » …..
Je sent que la « suite » va être passionnante … avec ….l’infâme logique de gauche !
On va rigoler … assurément !