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Face au changement climatique, ce chercheur suggère le cannibalisme

Selon lui, cela sauverait l'humanité ainsi que de nombreuses espèces et limiterait notre impact environnemental

La communauté scientifique tente de trouver diverses solutions pour lutter contre le changement climatique. Un scientifique a émis une idée tout à fait insolite pour résoudre les problèmes engendrés par ce fléau : opter pour le cannibalisme.

Le cannibalisme mis sur la table

C’est lors du sommet suédois sur la gastronomie qui s’est déroulé les 3 et 4 septembre 2019 que le professeur Magnus Soderlund, à la Stockholm School of Economics, a dirigé une conférence sur le thème : « Pouvez-vous imaginer manger de la chair humaine ? ».

Le professeur a expliqué que le changement climatique allait obliger les êtres humains à manger ce qu’ils ne pensaient jamais manger auparavant comme les animaux domestiques, les insectes et même la viande humaine. Toutefois, loin d’inciter les gens au meurtre – encore heureux – le scientifique suédois suggère de manger la chair des personnes décédées.

Une question d’égoïsme ?

Le scientifique a effectivement laissé entendre qu’à moins que les humains soient assez égoïstes pour ne pas se soucier de la pérennité des aliments, le cannibalisme serait une option envisageable pour assurer la survie des espèces. Il a également déclaré que manger de la viande humaine, provenant de cadavres, pourrait aider à sauver la race humaine si seulement une organisation mondiale s’ouvrait à cette idée.

Il ajoute même, dans des propos rapportés par Epoch Times, que les tabous « conservateurs » contre le cannibalisme peuvent changer avec le temps si les gens essayaient simplement de goûter à de la chair humaine. Interrogé par la chaîne suédoise TV4, le professeur a ainsi déclaré que même s’il est hésitant, il reste ouvert à l’idée de goûter au moins à de la chair humaine.

– Shatsko Yauhen / Shutterstock.com

Le cannibalisme, une pratique à haut risque

La pratique du cannibalisme est encore taboue dans nos sociétés mais elle est pratiquée dans certaines régions du monde. Mais elle n’est pas sans risques. Le New York Post rapporte qu’une tribu en Papouasie-Nouvelle-Guinée, qui a pratiqué le cannibalisme sur leurs morts au lieu de les laisser dépérir naturellement, a été contaminée par une épidémie appelée Kuru.

Selon la US National Library of Medicine, cette maladie est causée par une protéine infectieuse trouvée dans les tissus cérébraux humains. Cette population de la Nouvelle-Guinée a mis fin à cette pratique en 1960.

Par Micka Hanitrarivo, le

Source: Futurism

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    • « On se dit professeur… » (sic). Pas du tout! On est professeur des universités et chercheur par ses diplômes reconnus et ses connaissances. Ce qui est bien loin d’être votre cas d’ignorant jaloux et mesquin, pétri de propagande judéo-chrétienne! Vous n’êtes capable que de profiter passivement des avancées de la science, sans y participer d’aucune manière, même pas avec une quelconque critique constructive et étayée.

  • Radical, mais on peut faire mieux: faire disparaître quelques milliards d’individus, interdire aux pays pauvres de se développer et d’accéder à la Société de consommation (pouah, quel horreur de pouvoir se loger dignement, de manger à sa faim, d’acheter un réchaud, …), les priver de médecine moderne, … la bêtise de ces chercheur (sic) est stratosphérique!!!

  • Presque tout représentant de l’espèce humaine, y compris le plus insignifiant, s’accroche désespérément à sa survie. Surmontant ses inhibitions, ses complexes moraux et ses appréhensions, il en viendra à manger ses semblables si cela peut prolonger son existence misérable.

  • Et pourtant …quand les circonstances les y ont obligés, des hommes ont consommé de la chair humaine pour survivre. Rappelez-vous du livre de Piers Paul Read paru en 1976 et distribué par France Loisirs : « LES SURVIVANTS », relatant un fait divers du 13 octobre 1972 où leur avion s’étant écrasé dans les Andes, les rescapés ont survécu dans des conditions épouvantables, obligés de manger la chair congelée des morts avant d’être enfin secourus plusieurs mois après … N’oublions jamais que tout est possible et que l’homme cherchera toujours à survivre, quel que soit le prix à payer..

  • Ne jouons pas les vierges effarouchées ou les moralisateurs. De nombreux cas de cannibalisme rituels, criminels, ou de circonstance ont eu lieu dans l’histoire. Au paléolithique, durant l’antiquité, au moyen âge, ou plus récemment au vingtième siècle. Plusieurs cas de cannibalisme font la une de l’actualité, notamment Luka Rocco Magnotta, Le fait le plus connu est l’œuvre d’un étudiant japonais, Issei Sagawa, qui a dévoré une partie de son amie néerlandaise à Paris en 1981. En 1972, une équipe de rugby uruguayenne se retrouva isolée pendant 72 jours sur un glacier de la cordillère des Andes à la suite d’un accident d’avion avant de recevoir du secours. Les 16 rescapés décidèrent de pratiquer l’anthropophagie. Alors en rire, en pleurer ou dénigrer des scientifiques qui en font état, la réalité des faits est crue mais c’est la réalité.