LA VIE PARISIENNE NOCTURNE COMME PRINCIPALE SOURCE D’INSPIRATION

À cause de son choix de carrière, Toulouse-Lautrec estime qu’il n’a plus sa place au sein de l’aristocratie dont il est pourtant issu. De plus, l’agitation de Montmartre est assez captivante et il devient rapidement adepte de la vie de bohème. Oiseau de nuit, il fréquente les cabarets et les maisons closes et dépeint le charme atypique de ces lieux de plaisir.

Parmi ses sujets fétiches, on trouve notamment toutes les femmes qu’il a côtoyées et qu’il a immortalisées avec plus de 150 dessins et peintures. En plus des œuvres racontant la vie nocturne, il a également réalisé des illustrations pour l’hebdomadaire humoristique Le Rire dans les années 1890.

— Henri de Toulouse-Lautrec – Au Salon de la rue des Moulins / Wikipedia
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