Le cannabis, également connu sous le nom de marijuana, est une plante qui suscite bien des controverses. La majorité du temps perçu comme une drogue, le cannabis est même régi par des législations qui l’interdisent dans de nombreux pays du monde comme en France, en Chine, au Japon, en Irlande…
Pourtant, selon l’ONU, le cannabis est la substance illégale la plus consommée à travers le monde. D’ailleurs, la consommation de cette substance est tolérée dans certains pays comme l’Allemagne, l’Australie, la Colombie. Dans d’autres pays, tels qu’Israël ou le Brésil, elle est même décriminalisée à des fins médicales ou religieuses.
En revanche, on compte des pays dans lesquels le cannabis possède un statut légal. C’est le cas, par exemple, en Jamaïque, au Pérou ou en Corée du Nord.
Le cannabis n’est pas si mauvais qu’on le pense
Bien que l’addiction au cannabis entraîne des effets dévastateurs sur la santé, sa consommation modérée, sous contrôle médical, amène de nombreux bienfaits comme la prévention des crises d’épilepsie, la lutte contre la dépression, la diminution des douleurs chroniques, la réduction de la douleur et des tremblements dus à la maladie de Parkinson et la limitation de la progression de la maladie d’Alzheimer.
Justement, une équipe de chercheurs a fait une nouvelle découverte intéressante sur l’impact positif du cannabis sur notre santé lorsque son utilisation est médicalement contrôlée. Leur étude a effectivement révélé que le cannabis était un puissant antidouleur, 30 fois plus efficace que le paracétamol et l’aspirine.
Une découverte qui ne date pas d’hier
Le cannabis possède, en effet, des propriétés apaisantes et antalgiques. Cela est dû à la présence, dans la feuille de cannabis, de deux substances actives appelées tétrahydrocannabinol (THC) et cannabidiol (CDB).
Toutefois, la découverte des chercheurs de l’université de Guelph, située au Canada, s’axe sur deux molécules, des flavonoïdes, appelées cannflavine A et cannflavine B qui ont un effet anti-inflammatoire 30 fois plus puissant que l’aspirine.
Rappelons que ces flavonoïdes sont déjà connus des scientifiques depuis les années 1980. Toutefois, leur faible teneur dans le cannabis a fait que les chercheurs de l’époque n’ont pas imaginé qu’ils pourraient avoir une grande importance dans le milieu médical.
Les cannflavines sont exemptes d’effets secondaires
Saviez-vous que les antalgiques que nous connaissons et utilisons jusqu’à présent ont des effets secondaires sur notre santé ? Par exemple, le paracétamol n’est pas bon pour le foie, l’aspirine accroît les risques d’hémorragie, quant à l’ibuprofène et le diclofénac, ils sont néfastes pour le cœur à forte dose.
Cependant, comme les chercheurs le rapportent dans leur étude parue dans Phytochemestry, ce n’est pas le cas pour les cannflavines. Tariq Akhtar et son équipe de chercheurs déclarent effectivement que ces substances n’entraînent pas d’effets secondaires. Les scientifiques ont même réussi à identifier les gènes responsables de la fabrication des cannflavines. Grâce à cette découverte, les chercheurs pensent pouvoir mettre au point de nouveaux médicaments antalgiques. Ils ont d’ores et déjà déposé un brevet pour l’exploitation commerciale de leur découverte.
Par Micka Hanitrarivo, le
Source: Futura Sciences
Étiquettes: paracetamol, antalgiques, aspirine, cannabis, marijuana
Catégories: Articles, Actualités, Santé
S’il est vrai que le THC (extrait actif de la marijuana) produit un relâchement notoire musculaire donc une diminution effective des douleurs dans certaines pathologies, cet effet ne cure pas. Et à coup sûr pas du tout lorsqu’il s’agit de dégénérescence cérébrale due en général non pas à des « maladies », comme se plaisent à l’affirmer les laboratoires trop contents de refourguer de la chimie pour tout, mais à une usure normale qui accompagne l’âge croissant.
Par ailleurs, si la presse se met à balancer ce genre d’article sibyllin, ce n’est pas pour l’effet supposé curatif de la marijuana mais parce que des organisations à réseaux internationaux (fondations et autres agences discutables) ont tout intérêt à légaliser les drogues dites douces dans les pays qui les interdisent encore.
Pourquoi ?
Parce que les vrais détenteurs de pouvoir dont l’objectif est toujours l’imposition partout d’un nouvel ordre mondial où la massification devra être totale (c’est mieux pour contrôler les foules) exige que ce NOM ai son nouvel homme… lequel devra être crétinisé, déraciné, peureux, dévirilisé et… ramolli. Comme c’est déjà le cas aux Etats (dé)Unis où des drogues anti douleurs et anti anxiété ont été déversées sur le bas peuple avec des effets dévastateurs (délires et morts).
Ce monde n’est plus à un crime près. L’obsession de la minorité décideuse (celle qui se réunit à Davos, au Bilderberg et autres trilatérale) qui impose méthodiquement depuis des décennies son plan de contrôle total des masses auxquelles elle destine la consommation perpétuelle de tout et n’importe quoi, s’apparente à une véritable guerre contre les peuples.
Banaliser le cannabis comme l’on a banalisé à peu près n’importe quelle drogue anxiolytique évoque clairement le fameux « soma » de 1984… drogue quotidienne que tout le monde est sommé d’avaler pour être « heureux et relax » dans un monde monstrueux.