Les inquiétudes concernant le variant Omicron ne cessent de croître, et ce, malgré le peu d’informations qu’on a à son sujet. Si les scientifiques cherchent à savoir quel pourrait être l’impact de ce variant, ils veulent également connaître ses origines. Et selon un nouveau rapport, il est possible qu’il soit le résultat d’une collision entre une souche du SARS-CoV-2 et le VIH.
Une théorie émise par le chercheur qui a découvert le variant Omicron
Détecté pour la première fois en Afrique du Sud, le variant Omicron est actuellement un variant qui suscite beaucoup d’inquiétude. En effet, les experts craignent que ce nouveau variant du SARS-CoV-2 soit encore plus contagieux et dangereux que le variant Delta, étant donné qu’il présente un bon nombre de mutations présentes chez cette autre souche du virus, mais aussi des mutations qui n’ont jamais été observées jusqu’à présent. Pour l’instant, on ignore à quel point ce variant est dangereux et transmissible, mais il existe des théories sur la manière dont il serait apparu pour la première fois.
Selon une étude dirigée par Tulio de Oliveira – le bio-informaticien sud-africain qui a détecté le variant Omicron pour la première fois –, il est possible que ledit variant puisse être le résultat d’une collision désastreuse entre le Covid-19 et le VIH. Selon un rapport du Los Angeles Times, le chercheur pense que les premiers incubateurs les plus probables de ce variant sont des patients porteurs de VIH qui ne prennent pas de traitement, ou qui ne suivent pas correctement le traitement nécessaire pour lutter contre le SIDA.
Une théorie inquiétante
Pour en arriver à cette conclusion, le scientifique s’est notamment concentré sur le cas d’une patiente séropositive. Le cas de cette patiente est très intéressant, dans la mesure où elle a été infectée par le Covid-19 pendant une très longue période, mais malgré le fait qu’elle souffrait d’une immunodépression grave, elle n’a jamais développé des symptômes graves de la maladie. Malgré la quasi-absence de symptômes, cette patiente a été hospitalisée pour pouvoir recevoir un traitement et pour pouvoir étudier son cas. En guise de traitement, on lui a notamment prescrit des antirétroviraux.
La patiente a été suivie pendant 233 jours, et au cours de ce laps de temps, les chercheurs ont constaté qu’après 216 jours, elle a non seulement guéri du Covid-19, mais a aussi vu une nette régression du SIDA, a rapporté Midi Libre. Plus étonnant encore, les patients ont découvert que le SARS-CoV-2 avait subi plusieurs mutations au cours des six mois durant lesquelles la patiente était infectée. Les chercheurs ont notamment identifié l’émergence de 13 mutations qui n’avaient jamais été observées auparavant.
Pour l’instant, les chercheurs n’ont pas encore d’explication définitive pour ce phénomène. Mais selon l’une de leurs hypothèses, l’émergence de ces variants a été possible car la patiente était immunodéprimée et n’était pas suffisamment traitée pour le VIH. Ainsi, son organisme a fourni au SARS-CoV-2 un terrain favorable pour son évolution. Pour l’instant, il n’y a pas encore de preuves solides qui permettent de vérifier cette théorie. Mais si elle est vraie, ce serait une situation particulièrement inquiétante, dans la mesure où il y a environ 8 millions d’individus en Afrique subsaharienne qui sont séropositifs et qui ne sont pas traités correctement pour leur maladie, a rapporté Trust My Science.
Par Gabrielle Andriamanjatoson, le
Source: Futurism
Étiquettes: covid-19, variant omicron, vih, coronavirus
Catégories: Actualités, Santé
Ahahahahaha,
Le grand Professeur Montagnier l’avais déjà dit dès la première contamination par ce SRAS-2, le virus a été modifié avec des parties du VIH. C’est juste qu’aujourd’hui, tout ce qui nous a été menti ne peux plus être caché. Le VIH est présent dans cette pandémie de CoVID SRAS-2 depuis le début, ils n’ont pas attendu le Omicron, c’est d’ailleurs la principale raison de la destruction du système himunitaire par le virus SRAS-2 modifié. Les vaccins ne sont pas mieux, dès la première injection le système immunitaire chute de plus de 50% (rapport de l’ARS, SPF).
Merci les eugénistes, c’était pourtant dur de faire pire que les Nazis, les Khazars l’ont fait.