5. Cela dit, la relation entre T. gondii et le cerveau n’est toujours pas claire
Bien qu’il y ait eu des études en ce sens, il est tout de même trop tôt pour affirmer définitivement que le parasite est responsable de l’une de ces conditions. D’autres études, en effet, ont remis en cause ces liens. Une étude ayant recensé plus de 800 personnes nées avec des anticorps anti-T. gondii constate notamment qu’il y aurait peu de preuves que T. gondii soit un réel risque.