LE NÉODARWINISME
En 1866, Gregor Johann Mendel explique ce qu’on appelle la « transmission des caractères innés ». Concrètement, ses lois posent les bases de la génétique et permettent d’expliquer scientifiquement comment les gènes transmettent des caractères d’un individu à l’autre.
Plus tard, en 1930, va naître le néodarwinisme, soit une théorie synthétique de l’évolution. Elle prévoit que l’évolution est graduelle et se fait par modifications successives, que la sélection naturelle fait survivre les espèces les mieux adaptées, et enfin qu’il existe deux possibilités d’évolution par mutation.
Selon la théorie permise par les travaux des scientifiques Theodosius Dobzhansky, Ernst Mayr et George Simpson, les nouvelles espèces naissent soit par anagenèse, soit par cladogenèse. Alors que la première résulte du remplacement d’une lignée par une autre, la seconde se fait par scission d’une lignée en deux autres.
Par Maxime Magnier, le
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