fossile

Des chercheurs ont décrit une toute nouvelle espèce de reptile préhistorique. Présenté comme un « gobelin des rochers », ce monstersaurien vivait à la fin du Crétacé.

Le séquençage génétique d’échantillons provenant d’un crâne mis au jour au Chine il y a plus d’un siècle a révélé qu’il appartenait à un Dénisovien, mystérieuse lignée soeur d’Homo sapiens.

Des paléontologues ont réalisé la toute première description du contenu stomacal fossilisé d’un dinosaure sauropode, contribuant à éclairer la vie de ces anciens reptiles géants.

En étudiant des déjections fossilisées vieilles de 236 millions d’années, des chercheurs ont identifié les plus anciens témoignages connus de papillons, suggérant que ces insectes ailés (et leur « trompe ») soient apparus avant les fleurs.

Dans le nord-ouest de la Chine, des paléontologues ont mis au jour les restes d’une espèce de sauropode nouvelle pour la science, n’étant pas étroitement apparentée aux membres les plus emblématiques de ce groupe, tels que le brachiosaure.

Constitué d’un large fragment de crâne et d’une poignée d’os faciaux, Maba 1 avait été découvert en 1958 dans une grotte de la province chinoise du Guangdong. De nouvelles analyses remettent en question l’idée qu’il appartienne à une espèce étroitement apparentée à Néandertal.

L’étude de nouveaux témoignages fossiles datant de l’ère des dinosaures a conduit à la description d’une toute nouvelle de prédateur marin géant, à la morphologie vraiment étrange.

En fouillant les sols d’une grotte préhistorique du centre de l’Espagne, des scientifiques ont découvert une quantité intrigante de restes animaux, suggérant une tradition néandertalienne inhabituelle ayant perduré des milliers d’années.

L’examen approfondi d’empreintes fossilisées découvertes dans le sud-est de l’Australie indique que les reptiles étaient déjà bien établis sur la terre ferme il y a plus de 350 millions d’années.

L’analyse d’ossements d’une espèce humaine archaïque, qui vivait dans ce qui est aujourd’hui l’Afrique du Sud il y a plus de 300 000 ans, brosse un tableau plus nuancé de l’évolution des mains humaines.

Le réexamen des archives fossiles de musées canadiens a conduit à la découverte d’une toute nouvelle espèce de prédateur préhistorique. Écumant les océans à l’époque du Cambrien, elle présentait une caractéristique morphologique unique.

Des chercheurs ont récemment décrit une espèce de ver parasite nouvelle pour la science. Présentant des caractéristiques plutôt inattendues, elle prospérait à l’époque du Jurassique.

Des chercheurs ont récemment mis au jour un fossile impressionnant sur une berge boueuse du Mississippi. Il s’agit d’un os fossilisé appartenant à un mosasaure, un reptile marin colossal qui régnait sur les océans il y a des dizaines de millions d’années, à la fin de l’ère des dinosaures. Cette découverte suscite l’émerveillement des scientifiques, qui la considèrent comme l’un des plus grands spécimens découverts dans la région.

Le plus ancien fossile connu de fourmi confirme que ces insectes, aujourd’hui observés sur tous les continents à l’exception de l’Antarctique, sont apparus dans l’hémisphère sud.

Les archives fossiles disponibles suggèrent une baisse de la diversité des espèces de dinosaures plusieurs millions d’années avant l’impact cataclysmique de l’astéroïde de Chicxulub. De récentes recherches sont parvenues à une conclusion bien différente.

L’analyse d’une mâchoire fossilisée trouvée au large de Taïwan a contribué à éclairer l’apparence et l’aire de répartition d’une ancienne espèce humaine énigmatique : les Dénisoviens.

D'après une étude récente, deux spécimens fossilisés d'une créature datant de l'Ordovicien ont été découverts, avec des muscles et des organes internes remarquablement bien conservés. Contrairement à la plupart des fossiles, ces spécimens n'ont pas gardé leur coquille, mais leurs tissus mous, comme les muscles et les viscères, sont restés intacts dans des sédiments anciens transformés en roche.

La découverte de nombreux fossiles d’amphibiens préhistoriques géants indique un épisode de mortalité massive à l’époque du Trias (il y a entre 252 et 201 millions d’années), marquée par l’émergence des dinosaures.

Un zooarchéologue a identifié l’objet de manière plus formelle. Il a confirmé qu’il s’agissait bien d’un fossile.

L’analyse de fossiles de guêpes préhistoriques a révélé une stratégie plutôt ingénieuse pour capturer leurs proies, semblable à celle qu’utilise une plante carnivore bien connue.