Vous êtes-vous déjà demandé si les ovnis existaient vraiment ? Si oui, vous n’êtes pas le seul. Un ancien officier de renseignement américain, David Grusch, a fait une révélation fracassante sur l’existence d’un programme secret de récupération d’ovnis par les États-Unis. Selon lui, le gouvernement américain possède des restes d’engins spatiaux non humains, dont l’un aurait été découvert en Italie sous le régime de Mussolini.
L’ovni de Magenta
L’histoire commence en 1933, quand une soucoupe volante se serait écrasée près de Magenta, en Lombardie. L’affaire aurait été confiée à un service secret dirigé par Benito Mussolini, qui aurait caché les preuves et demandé à Guglielmo Marconi, l’inventeur de la radio, d’étudier le phénomène. Une partie des documents aurait été envoyée à l’Allemagne nazie, tandis qu’une autre serait restée en Italie.
C’est là que les États-Unis seraient intervenus, en s’emparant de l’épave ou de ses débris dans une usine aéronautique en 1945, avec l’aide de la 1ère Division blindée. Selon le journaliste et chercheur italien Roberto Pinotti, ce cas relèverait des “Fascist UFO Files” en raison de la période à laquelle il s’est produit.
L’analyse secrète des objets non humains
David Grusch, qui a travaillé pour la National Geospatial-Intelligence Agency (NGA) et le National Reconnaissance Office (NRO), affirme que ces objets sont d’origine non humaine et qu’ils ont fait l’objet d’une analyse secrète par le gouvernement et l’industrie militaire. Il dit avoir eu accès à des données expérimentales et mécaniques qui prouvent qu’il ne s’agit pas d’une technologie humaine.
Grusch ne se prononce pas sur la provenance exacte de ces objets, mais il évoque deux hypothèses : une origine extraterrestre ou une origine alternative, liée à la théorie quantique. Il dit qu’il n’a pas assez de preuves pour trancher et qu’il faut plus d’informations de la part des autorités américaines.
Les menaces et les alliés du lanceur d’alerte
Grusch se dit victime de menaces et d’intimidations depuis qu’il a dénoncé publiquement la dissimulation d’informations classifiées au Congrès par certains éléments du renseignement. Il dit avoir été accusé de mauvaise conduite et avoir vu son habilitation de sécurité remise en cause. Il dit avoir choisi de sortir de l’anonymat pour se protéger et bénéficier de l’immunité accordée par une nouvelle loi sur la défense.
Il dit aussi avoir des alliés au sein de l’alliance Five Eyes, qui regroupe le Canada, le Royaume-Uni, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Ces pays auraient travaillé ensemble ou seraient au courant des projets secrets qui ont enquêté sur ces choses d’origine non humaine.