
Daniel Chiswick at English Wikipedia. Original author Robert John Welch
4. Le Titanic peu intéressant
L’Olympic, le paquebot jumeau du Titanic, a toujours intéressé plus de gens que le Titanic lui-même. En 1912, lorsque le Titanic s’apprêtait à naviguer, aucune presse n’était présente. Ainsi, quand les médias avaient besoin de séquences à montrer après le malheureux naufrage, ils se servaient des images lors du voyage olympique.
Par Gabrielle Andriamanjatoson, le
Source: The most 10
Étiquettes: titanic, paquebot, naufrage, white star line
Catégories: Actualités, Histoire, Articles
Page 8: en français on ne dit pas « malgré que ».
bien que
Page 1: Cinq jour après le drame, c’était le lendemain de l’arrivée des survivants (ceux-ci sont arrivés à New York le 18 avril). Le film est sorti le 14 mai 1912. C’est-à-dire un mois après.
Page 2: Avant de commander le Titanic, le capitaine Smith commandait l’Olympic, navire identique au Titanic (sister-ship). Et il a commandé d’autres paquebots à vapeur, avant.
Page 3: Il a été établi, il y a bien longtemps, que le Samson ne pouvait pas être le fameux navire se tenant proche du Titanc.
Page 5: Faut pas oublier que Lightoller refusait aux hommes d’embarquer dans les canots, alors qu’il y avait beaucoup de places libres. Par ses ordres, Lightoller a fait mourir plusieurs personnes qui auraient pu survivre. De l’autre côté du navire, Murdoch autorisait les hommes à embarquer dans les canots quand plus aucune femme ne se présentait.
PAGE 6: N’importe quoi! Les cabines de troisième classe n’étaient pas surpeuplées. Le Titanic a pris la mer sans avoir fait le plein de passagers. Et la condition de vie en troisième classe était loin d’être mauvaise! Un exemple simple: s’il n’y avait que deux baignoires en troisième classe, il y avait par contre des toilettes à bord, contrairement à de nombreuses maisons de l’époque!
Page 9: « Titanic Nazi » Ça n’existe pas. Le film s’appelle « Titanic ». Dans le film, ce n’est pas le capitaine qui est allemand, mais le second du navire.
Page 10: C’est moins connu, mais les jumelles n’auraient servi à rien! En effet, le veilleur, qui a pourtant dit qu’il aurait vu l’iceberg plus tôt s’il avait eu des jumelles, a fait savoir repérer d’abord les objets, puis utiliser les jumelles (quand il en avait, puisqu’il était rare à l’époque que les veilleurs disposassent du jumelles). Quand il a vu l’iceberg, le veilleur l’a identifié immédiatement, ce qui indique que les jumelles n’auraient servi à rien.
Tout à fait d’accord avec vos propos. Pour la page 10 d’autres faits ont été établis depuis:
-le Le capitaine n’avait aucune raison de ralentir: en raison de l’exceptionnelle visibilité qui régnait cette nuit-là, il devait voir l’horizon à 20 km…en théorie! Tim Maltin a parfaitement démontré (plusieurs autres navires avaient fait état de ce phénomène) que c’est une réfraction due à l’inversion des températures (bref, un mirage!) qui a empêché les veilleurs de voir l’iceberg à plus de 500m.
Page 3: le regretté Henri-Paul Nargeolet a expliqué que le seul navire suffisamment proche pratiquait une pêche illégale, et ne s’est donc pas manifesté. Quant au Californian, dont le capitaine a été si injustement accusé de non-assistance, la position réelle du Titanic révélée par l’épave prouve qu’il se trouvait trop loin -englué dans un champ de glaces- pour arriver à temps pour sauver ceux qui nageaient comme ceux restés à bord.
Il y avait aussi un feu,et le capitaine à rien fait.Aussi,l’iceberg à fais une ouverture à l’emplacement ou il y avait un feu.
Le feu, bien réel, a été longuement et difficilement combattu par les soutiers, sans grand succès ce dont on ne peut lui tenir rigueur. Il a été établi que la coque a été « effleurée » par l’iceberg, ce qui a provoqué une série de brèches équivalant à un peu plus de 1 m² sur une centaine de m (prouvé par l’examen au sonar). Le feu a plus probablement fragilisé les cloisons adjacentes qui auraient donc rompu, ce qui a accéléré le naufrage. En effet celui-ci a été plus rapide qu’anticipé par l’ingénieur Thomas Andrews, présent à bord.