LA TORTUE SERPENTIÈRE DE LA RIVIÈRE BELLINGER
Cette tortue est endémique de la rivière Bellinger, un cours d’eau de 60 kilomètres situé en Nouvelles Galles du Sud, un état australien. Elle vivait une existence paisible jusqu’à ce que les habitants introduisent le renard européen. Un prédateur féroce pour ces tortues qui entraient également en compétition avec les renards pour trouver leur nourriture et leurs sites de reproduction. Cependant, comme pour la grenouille dorée, ce n’est pas cette menace qui les a conduit au bord de l’extinction mais la propagation d’une mystérieuse maladie en 2015. Grâce au financement de l’état et à l’engagement des défenseurs de l’environnement, les scientifiques ont réussi à sauver 17 spécimens. Le challenge est désormais de reconstituer un assez grand groupe de reproduction pour pouvoir assurer leur survie dans la nature.
Quel titre pourri. Déjà est-ce qu’on pourrait utiliser le mot adapté de la langue française originale : c’est pas Homme c’est Humain. Les modernisation de gros macho académiciens ça marche plus là, on est plus en 1992.
Et ensuite partir du principe qu’on les a ”sauvés” alors qu’on a juste arrêté de les massacrer, non mais l’ego ça se passe comment.
Bref. Pff.