ChatGPT
— Ascannio / Shutterstock.com

Un secret de ChatGPT a été révélé : il est alimenté par des ouvriers non qualifiés qui gagnent 15 dollars de l’heure. Explications.

Deux ouvriers sous-traitants d’OpenAI ont rapporté que le type de travail nécessaire à la formation de grands modèles linguistiques (LLM) comme ceux nécessaires pour ChatGPT est « vraiment un travail pénible ». « Notre travail nécessite beaucoup de travail ennuyeux : étiqueter des photos, écrire des prédictions pour l’intelligence artificielle (IA) et d’autres choses qui aident le LLM à apprendre comment générer des réponses. »

Les employés ajoutant : « Nous sommes des travailleurs non qualifiés. Mais, sans cela, il n’y aurait pas de systèmes de langage d’IA. Vous pouvez concevoir tous les réseaux de neurones que vous voulez, vous pouvez impliquer tous les chercheurs que vous voulez, mais sans étiqueteurs, vous n’avez pas de ChatGPT. »

Selon Sonam Jindal, membre de la société de recherche à but non lucratif Partnership on AI, située à San Francisco, ce type de travail contractuel à bas salaire et non assuré est un élément essentiel de l’industrie de l’apprentissage automatique. « Une grande partie du discours autour de l’IA est très élogieuse. Mais il nous manque une grande partie de l’histoire : que cela dépend encore énormément d’une main-d’œuvre humaine importante. Les gens minimisent parfois ces travaux nécessaires et laborieux. C’est le domaine d’entrée de gamme nécessaire de l’apprentissage automatique. »

Jatin Kumar, un jeune diplômé vivant au Texas, a partagé son ressenti concernant son travail en tant que formateur conversationnel OpenAI. « Cela m’aide à créer ma propre startup. Au départ, cela a commencé comme un moyen pour moi d’aider OpenAI et d’en apprendre davantage sur les technologies existantes. Mais maintenant, je ne me vois pas m’éloigner de ce rôle. »

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rustinette
rustinette
9 mois

IA dangereuse et pour tout le monde , on marche sur la tête, l’homme en veut toujours plus et là on va dans le mur , c’est la fin de l’humanité et tant mieux