Santé

Pour la première fois, des scientifiques ont exploré le potentiel du microdosage de LSD à domicile pour traiter la dépression, avec des résultats assez spectaculaires à la clé.

Longtemps ignorés ou considérés comme inévitables, les effets secondaires neurologiques de la chimiothérapie pourraient enfin trouver un remède. Une avancée scientifique tricolore ouvre la voie à une protection efficace des neurones, sans compromettre les traitements anticancéreux. Des millions de patients pourraient bientôt en bénéficier.

Une équipe internationale de chercheurs a mis au point un gel dentaire innovant, exploitant les propriétés de notre salive pour régénérer la couche dure et brillante qui recouvre nos dents.

Et si nos mots trahissaient davantage qu’ils n’éclairaient ? Une nouvelle génération d’intelligences artificielles s’attaque à un domaine inattendu : les questionnaires psychiatriques. En analysant les mots eux-mêmes, sans les réponses, elles révèlent des failles structurelles et des biais d’interprétation que les cliniciens humains peinent encore à détecter.

Un implant cérébral permet de contrôler des appareils par la pensée. Une révolution entre autonomie numérique et interaction sans gestes.

Et si notre cerveau pouvait rester jeune bien plus longtemps qu’on ne le pense ? Le neurologue Majid Fotuhi, formé à Harvard, applique à lui-même des méthodes issues de la recherche pour ralentir le vieillissement cérébral. Et ses résultats interpellent.

Parmi les conséquences de la maladie d’Alzheimer, l’oubli des proches est sans doute la plus dévastatrice. Des chercheurs américains ont récemment identifié la cause de cette perte de « mémoire sociale », et une voie pour la prévenir.

De récentes expériences ont lié différents types d’interactions étroites chez les couples à une guérison accélérée des blessures, suggérant une combinaison gagnante aux effets influencés par une hormone bien connue.

Les cellules cancéreuses possèdent des récepteurs gustatifs qui pourraient être neutralisés pour améliorer considérablement l’efficacité des traitements chimiothérapiques conventionnels.

Certains aliments nourrissent, d’autres peuvent tuer. Derrière nos assiettes se cachent parfois des dangers invisibles, des toxines si puissantes qu’elles suffisent, à elles seules, à faire vaciller les frontières entre la vie et la mort. Mais alors, quel est vraiment l’aliment le plus mortel au monde ? La réponse est plus complexe qu’il n’y paraît et traverse les règnes végétal, animal et fongique.

Une nouvelle étude réalisée par les chercheurs de l’Université de Cornell a montré que l’un des facteurs les plus surprenants influençant le vieillissement est la vie sociale.

On a tendance à l’oublier, mais les étirements sont aussi importants que l’activité physique elle-même. Voici pourquoi.

Des scientifiques ont mis au point une nouvelle thérapie anticancéreuse qui utilise la lumière LED et des particules microscopiques d’étain pour détruire les tumeurs de manière sûre et abordable.

Et si certains de nos plats préférés mettaient en péril notre cerveau ? Des chercheurs américains viennent d’identifier les aliments ultra-transformés les plus dangereux pour la santé cognitive, et la réponse pourrait bien en attrister plus d’un.

Des expériences ont montré qu’en cas de manque de sommeil, les processus de nettoyage cérébral intervenant normalement pendant la nuit étaient décalés, avec un impact significatif sur notre capacité d’attention.

Ce n’est pas un secret. Passer quotidiennement de longues heures assis n’est pas idéal pour notre santé. Selon de nouvelles recherches, le remède se cacherait… dans les fèves de cacao.

Un garçon de 13 ans vivant en Nouvelle-Zélande a dû subir une intervention chirurgicale après avoir avalé des aimants puissants, ce qui a entraîné l'ablation d'une partie de son intestin.

À l’heure actuelle, le traitement des ulcères les plus graves implique une chirurgie invasive. Dans un avenir proche, les perforations du tube digestif pourraient être facilement guéries à l’aide d’une pilule « télécommandée ».

Si les cheveux constituent un marqueur, pour beaucoup indésirable, du passage inexorable du temps, une nouvelle étude menée sur des souris les lie également à un mécanisme clé utilisé par notre organisme pour combattre le cancer.

La stévia à la rescousse. De récentes expériences sur des rongeurs ont montré qu’un patch contenant l’un de ses dérivés permettait de maximiser les effets du minoxodil, couramment utilisé pour traiter la chute de cheveux.