Aller au contenu principal

Le saviez-vous ? Dans l’Angleterre du XIXe siècle, il était permis de vendre sa femme

Il faudra attendre le début du XXe siècle pour que cette coutume dégradante soit définitivement bannie

De la fin du XVIIe siècle au début du XXe, le divorce était encore trop onéreux pour de nombreux Anglais. Mais les hommes britanniques lassés de leur femme ont su renverser la situation à leur avantage, en tirant de coquets revenus de leur séparation…

Dès la fin du XVIIe siècle et jusqu’au début du XXe siècle, les Anglais désireux de se séparer de leur femme pouvaient vendre celle-ci au marché plutôt que de s’endetter dans une procédure de divorce. La femme paradait alors en public, le cou orné d’un collet. Son prix montait aux enchères.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, les femmes approuvaient souvent cette coutume. Cela leur permettait en effet d’accéder à un niveau de vie bien plus élevé, puisque l’homme qui les rachetait aux enchères était celui qui pouvait proposer la somme la plus haute. Or, les maris qui vendaient leur femme aux enchères étaient généralement ceux qui avaient de trop grandes difficultés financières pour divorcer.

Cette pratique anglaise a alors conquis l’Écosse puis l’Australie pour disparaître au début du XXe siècle.

Par Solene Planchais, le

Source: Se coucher moins bete

Étiquettes: , , , , ,

Catégories:

Partager cet article

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *