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Le saviez-vous ? Les femmes vikings étaient les plus libres de leur époque

Elles ont pu divorcer des siècles avant nous

Les sociétés vikings du Moyen Âge étaient violentes, sans pitié. Elles avaient pourtant un aspect progressiste. En effet, les femmes y étaient considérées presque comme les égales des hommes. Elles pouvaient faire leurs preuves pour accéder à un niveau de respect comparable à celui des personnalités masculines.

Les Vikings occupaient leurs printemps et étés à piller. Ils revenaient dans leurs foyers généralement à l’hiver. En leur absence, ce sont les femmes vikings qui devaient s’occuper de leur foyer, transmettre la tradition et les valeurs du clan, et même parfois se battre.

Cette fonction n’a en réalité rien d’une exception car nombre de sociétés médiévales fonctionnaient ainsi. Mais, les femmes vikings avaient quand même plus de libertés que les autres femmes de leur époque. En effet, elles pouvaient demander le divorce et conserver leur nom de jeune fille. Certaines d’entre elles occupaient des postes de commandement importants. Elles pouvaient également posséder des terres, des forts et des bateaux.

Par Aménis Khaldi, le

Source: History

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  • « Les sociétés vikings du Moyen-Âge étaient violentes, sans pitié » (sic). Il est peut-être temps, à présent que les scientifiques découvrent toujours davantage au sujet de la civilisation nordique, de relativiser le soi-disant tempérament impitoyable des hommes et des femmes du Nord. Replacés dans le contexte de l’époque médiévale, ces derniers avaient des pratiques ni plus ni moins que la soldatesque européenne du sud ou du centre de l’Europe, ou encore que les soudards de partout ailleurs dans le monde. Ils n’étaient pas tous des « barbares » assoiffés de sang celte, slave, anglo-saxon, latin ou autre mais commerçaient volontiers, forgeaient avec art et navigaient sans aucun instrument. Si leurs épées étaient sans nulle autre pareille, les femmes du nord pouvaient se montrer aussi habiles dans tous les domaines. Quant à leur panthéon prétendument monstrueux, lisez donc « Le Dieu de l’Orage » de Aarto Paasilina !