Le Costa Rica est un pays d’Amérique centrale encore méconnu mais qui recèle bien des merveilles. Sur terre comme sous la mer, la biodiversité y est étonnante de variété, les paysages sont sublimes et les habitants sont très accueillants. Autant de trésors qui gagneraient à être plus connus. SooCurious vous fait faire le tour du Costa Rica grâce à ces trente magnifiques clichés.
Une grenouille arboricole à yeux rouges :
Malgré sa petite taille, moins de 0,1 % de la surface de la Terre, le Costa Rica abrite plus de 5 % de la biodiversité de notre planète, allant d’espèces très menacées à d’autres plus courantes, comme la grenouille arboricole à yeux rouges.
Le volcan Arenal :
Le volcan Arenal, avec sa forme de cône presque parfaite, est sans doute le plus célèbre des quatorze volcans que compte le Costa Rica. Le parc national qui l’entoure partage son nom, et il se trouve au nord de la capitale de San José.
La réserve biologique de l’île du Caño :
La réserve biologique de l’île du Caño, l’une des douzaines de réserves naturelles que compte le pays, se situe au large de la péninsule d’Osa dans le sud-ouest du Costa Rica. Sa biodiversité sous-marine incroyablement riche en fait un paradis pour les plongeurs.
Bajos del Toro :
Bajos del Toro est une réserve privée située juste au nord de San José. Là, une cascade fait un plongeon de plus de 90 mètres de haut pour tomber dans le cratère d’un ancien volcan éteint.
La vie dans les eaux du Pacifique :
L’impressionnante abondance d’animaux sous-marins sur la côte Pacifique du Costa Rica en fait un spot de plongée particulièrement privilégié.
Parc national de Cahuita :
Le parc national de Cahuita est célèbre pour ses sites de plongée sur des récifs coralliens exceptionnels, mais il propose également de nombreuses merveilles naturelles sur la terre ferme, comme des populations de singes capucins ou encore de paresseux tridactyles.
Les baleines de l’île du Caño :
Certaines baleines, comme les baleines à bosse (ou mégaptères), passent par l’île du Caño au cours de leur migration, faisant de ce lieu l’endroit où la saison d’observation des baleines est la plus longue au monde.
Fèves de cacao :
Si vous ne vous êtes jamais demandé d’où venait le chocolat, vous pourriez bien trouver la réponse au Costa Rica. Les premiers habitants du pays en faisait déjà le commerce bien avant l’arrivée des Européens, et aujourd’hui encore des entreprises produisent du cacao à partir de fèves locales.
Que de plages :
Le Costa Rica est bordé à l’ouest par l’océan Pacifique, et à l’est par la mer des Caraïbes. Le pays n’est donc définitivement pas à court de plages de sable blanc immaculé dont on peut profiter toute l’année. D’autant que, si le temps n’est pas au beau fixe un jour, il n’y a que quelques dizaines de kilomètres à faire pour passer d’un océan à l’autre.
Le peuple Bribri :
Le peuple Bribri est l’une des nombreuses tribus indigènes qui peuplaient le Costa Rica avant l’arrivée des Européens. De nombreux organismes organisent des voyages caritatifs auprès des tribus Bribri durant lesquels il est possible d’obtenir des informations de première main sur leur mode de vie et leurs croyances.
L’hospitalité avant tout :
Le Costa Rica ayant décidé de faire de plus de 25 % de son territoire terrestre et maritime des réserves naturelles, le pays compte beaucoup sur le tourisme pour assurer ses revenus. Le tout sur une base responsable, puisque le but est, au passage, de préserver ses trésors naturels. Les habitants du Costa Rica sont très ouverts aux étrangers et aux touristes.
Le surf à Playa Avellana :
Grâce à sa double ligne de côtes et à d’autres conditions favorables, le Costa Rica a toujours été un haut lieu pour le surf. Playa Avellana, au sud de la péninsule de Nicoya, est devenue un spot de surf populaire très récemment.
Coucher de soleil sublime :
Peu importe l’endroit où vous vous trouvez au Costa Rica, la côte ouest et le Pacifique ne sont pas loin, et avec eux la promesse de magnifiques couchers de soleil tropicaux sur fond de plage de sable fin et de jungle tropicale…
Paresseux tridactyle :
Animal emblématique de la biodiversité du pays, le paresseux tridactyle est particulièrement aimé des habitants du Costa Rica. Comme son nom l’indique, le paresseux se déplace très lentement et a un métabolisme très lent, mais étonnamment c’est un assez bon nageur. Dans le parc de Puerto Limon, il est possible de faire des tours en bateau sur la rivière dans l’espoir de pouvoir en apercevoir.
Aigle noir des mangroves, Palo Verde :
Le parc national de Palo Verde se trouve sur la vallée de la rivière Tempisque, dans le nord-ouest du Costa Rica, et protège une très grande étendue de forêt sèche et de mangrove. Cet endroit est le spot idéal pour observer des oiseaux puisqu’on y trouve de magnifiques perroquets aras, des ibis ou encore des rapaces comme l’aigle noir des mangroves.
La Tortue luth :
La plus grande espèce de tortue marine encore existante, la Tortue luth, nidifie sur les deux côtes du Costa Rica où elle dispose de sites de nidification protégés par le gouvernement du Costa Rica, le pays devenant un important relais pour la protection de cette espèce menacée, notamment le parc national de conservation de Tortuguero, au nord de Limon.
Une fleur à Drake Bay :
Bien sûr le Costa Rica présente une énorme biodiversité, et celle-ci n’est pas seulement animale. La forme, la couleur et la variété des plantes au Costa Rica est une source d’émerveillement constante.
Un requin-marteau, parc national de l’île Cocos :
L’île Cocos se situe à environ 500 km au sud-ouest du Costa Rica continental, à mi-chemin de l’archipel des Galapagos. L’île Cocos est inhabitée, ce qui permet de toujours disposer d’une biodiversité unique et presque parfaitement préservée. Si vous obtenez une autorisation de vous y rendre, c’est sans doute que vous voulez y plonger.
Une tyrolienne dans la forêt nuageuse de Monteverde :
Les forêts du Costa Rica sont aussi variées que les créatures qu’elles abritent. La forêt nuageuse de Monteverde couvre les hauteurs du nord-ouest des monts Tilaran, et est plongée dans une brume permanente. Elle abrite une biodiversité extraordinaire.
Nosara :
Nosara est une petite ville située sur la côte Pacifique du Costa Rica, sur la péninsule montagneuse de Nicoya, et est un spot de surf particulièrement renommé.
Faire du Rafting sur le Pacuare :
On peut s’amuser avec l’eau au Costa Rica même en s’éloignant de la côte. Le Rio Pacuare est un grand torrent de montagne qui s’écoule sur plus de 100 km entre les hautes terres à l’est de San José et le sud du parc national de Tortuguero.
Un coucher de soleil à Playa Hermosa :
Playa Hermosa, à Guanacaste, est une très jolie plage relativement peu fréquentée et qui est idéalement située sur la cote Pacifique du Costa Rica.
Le volcan Poas :
Le volcan Arenal est peut-être beau vu de loin, mais vous aurez envie de voir le Poas de près. Dans le parc national portant son nom, vous pouvez emprunter un sentier qui vous permettra, si vous y tenez, d’aller admirer son cratère.
Grenouille Dendrobate :
Si vous avez besoin d’un chiffre pour estimer la biodiversité présente au Costa Rica, sachez qu’on y trouve 133 espèces de grenouilles, dont beaucoup sont endémiques (ce qui signifie qu’elles ne se trouvent qu’ici). La plupart d’entre elles sont des dendrobates, des grenouilles très colorées dont la peau est hautement empoisonnée, comme celle-ci, photographiée dans la réserve de Gondoca-Manzanillo.
Papillon empereur :
Avec une envergure atteignant les 20 cm, le papillon empereur est l’un des nombreux insectes peuplant les jungles du Costa Rica, où sa brillance bleue tranche avec la verdure.
Parc national de Santa Rosa :
Le parc national de Santa Rosa est le plus ancien parc national du Costa Rica, puisqu’il a été établi en 1971, et a été créé initialement pour protéger le site d’une bataille historique. Depuis, il protège la biodiversité de la péninsule nord du Golfe de Papagayo, dans la province de Guanacaste.
Plage de Santa Teresa :
Presque au bout de la péninsule de Nicoya, juste au nord de la réserve naturelle de Cabo Blanco, se trouve la plage de Santa Teresa, qui cristallise tout ce qu’ont à offrir les plages du Costa Rica.
Un peintre de Oxcart à Sarchi :
À la limite nord de la ville de San José, la ville de Sarchi conserve de nombreux artisans spécialistes de l’art traditionnel du Costa Rica. Parmi eux se trouve le Oxcart, un style de peinture particulier, réalisé sur les ballots qui servaient à transporter les grains de café depuis les montagnes jusqu’à la côte.
Un toucan :
De tous les oiseaux qui peuplent le Costa Rica, le toucan est sans doute l’un des plus emblématiques, et son cri si particulier restera toujours associé aux jungles et aux environnements tropicaux dans vos souvenirs.
Parc national Manuel-Antonio :
Sur la côte Pacifique, à côté de la ville de Quepos, le parc national Manuel-Antonio attire de nombreux visiteurs avec sa jungle et ses plages magnifiques bordées de palmiers. Punta Cathedral, la pointe que l’on peut voir sur la photo, n’est accessible que par randonnée.
Vraiment sublime ! À la rédaction, on a plus qu’une envie, c’est de réserver notre billet d’avion au plus vite et de partir à la découverte de ce pays sauvage où il fait chaud toute l’année. Ces photographies nous ont d’ailleurs rappelé ce court-métrage réalisé par Claire, une réalisatrice française tombée amoureuse du Costa Rica et plus particulièrement du village de Playa Junquillal. Et vous, aimeriez-vous aller profiter des beautés naturelles dont regorge le Costa Rica ?
Par Romain Berthommier, le
Source: Matador Network