Cela ne va pas plaire à votre patron : selon une étude réalisée par la revue ScienceDirect et publiée le 18 juin, il ne faudrait pas excéder 8 heures de travail hebdomadaire pour prévenir les risques de problèmes de santé mentale.
Cette étude s’appuie sur les résultats collectés par des sociologues des universités de Cambridge et de Salford. Ils ont ainsi analysé les résultats d’une enquête sur plus de 70 000 habitants du Royaume-Uni entre 2009 et 2018. Elle avait pour but d’évaluer la relation entre les changements d’horaires de travail, la santé mentale et la satisfaction des individus.
Les résultats de l’enquête sont sans équivoque : les anciens chômeurs, de même que les parents au foyer ayant repris une activité professionnelle de huit heures ou moins par semaine, ont vu leur risque de développer des problèmes de santé mentale diminuer de 30 %.
Travailler un jour par semaine semble tout à fait inenvisageable pour la grande majorité de la population. Le monde du travail est toutefois en pleine mutation avec le développement de l’IA et du big data, susceptibles de remplacer l’humain dans de nombreux domaines. Selon les chercheurs, cela pourrait nous permettre de réorganiser nos semaines de travail.
Ils ont ainsi proposé plusieurs scénarios : nous pourrions être en week-end 5 jours sur 7, travailler 2 heures par jour ou encore avoir des congés annuels bien plus importants qu’actuellement.
Seriez-vous partant ?
Par Jeanne Gosselin, le
Source: Slate
Étiquettes: santé, travail, sante-mentale, mentale
Catégories: Non classé, Santé, Brèves
« il ne faudrait pas excéder 8 heures de travail hebdomadaire pour prévenir les risques de problèmes de santé mentale. » Ce n’est pas du tout le sujet de l’article. Le sujet de la recherche montre que travailler 8h par semaine est suffisant pour maintenir une santé mentale. Et pas du tout que travailler au-delà l’affecte.
» for most groups of workers there was little variation in wellbeing between the lowest (1–8 h) through to the highest (44–48 h) category of working hours »
il faut pas oublier que « l’oisivité est mère de tout les vices »
De ce que j’ai put constater dans le monde du travail je confirme ce qui est dit dans l’article