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Les utilisateurs sont horrifiés lorsque leurs tatouages Spotify cessent de fonctionner

Les codes peuvent cesser de fonctionner à mesure que la peau s’affaisse et que l’encre s’estompe

spotify
— Diego Thomazini / Shutterstock.com

Pour ses abonnés les plus passionnés, Spotify propose des tatouages représentant une mélodie particulière. Cette mélodie peut être scannée, ce qui permet de jouer la musique à laquelle appartient la mélodie sur l’application Spotify sur un smartphone. A la grande horreur de ceux qui ont choisi ces tatouages, le scan de ces mélodies n’a plus fonctionné sur Spotify.

Les tatouages ​​​​Spotify sont de plus en plus populaires. Très appréciés des grands amateurs de musique, ces tatouages – qui peuvent être permanents ou temporaires – permettent de lancer la lecture de la chanson qui figure sur ledit tatouage. Pour ce faire, ces tatouages représentent des ondes radio qui peuvent normalement être numérisées pour lancer la chanson sur l’application Spotify. Malheureusement, il n’y a aucune garantie que le tatouage – même s’il est permanent – reste fonctionnel sur le long terme.

Dernièrement, de nombreux utilisateurs qui ont choisi ce genre de tatouage ont rencontré des problèmes pour scanner puis lancer leur chanson favorite. En fait, le moindre petit défaut avec le tatouage peut rendre ce dernier illisible pour le système de numérisation de Spotify. Bien évidemment, les utilisateurs ont exprimé leur mécontentement à ce sujet, et certains ont déjà choisi de recouvrir leur tatouage Spotify par quelque chose d’autre. Quoi qu’il en soit, il est utile de préciser que Spotify n’a pas vraiment encouragé ses utilisateurs à se faire tatouer de la sorte.

De plus, se faire tatouer, d’une manière ou d’une autre, la représentation de sa chanson préférée date de bien avant Spotify, et ce n’est pas ce défaut dans les scans de l’application qui va arrêter les fans de musique et de tatouage de se faire tatouer. Par ailleurs, Spotify a déployé une intelligence artificielle pour lutter contre le plagiat.

Par Gabrielle Andriamanjatoson, le

Source: Futurism

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