L’Égypte ancienne a toujours fasciné par ses monuments colossaux et son riche patrimoine culturel. Parmi les attractions phares, le Grand Sphinx de Gizeh occupe une place de choix. Ce monument titanesque, sculpté dans un bloc de calcaire, est considéré comme l’une des plus grandes énigmes archéologiques du monde. Une des raisons de cette fascination est son absence remarquable dans les documents de l’Antiquité égyptienne, en particulier de la période à laquelle il est censé avoir été construit.
Identité et caractéristiques du Sphinx
Le Grand Sphinx est une statue gigantesque mesurant environ 20 mètres de haut et 70 mètres de long, taillée dans le calcaire du plateau de Gizeh. Selon les estimations les plus courantes, il aurait été créé sous le règne de Khafrê (ou Khéphren), le pharaon de la IVe dynastie, il y a environ 4 400 ans. Connu sous le nom de Sphinx, ses fondateurs lui ont donné un autre nom il y a des milliers d’années. Le nom actuel de la statue lui a été donné dans l’Antiquité classique, près de 2 000 ans après que la majorité des experts pensent qu’elle a été sculptée.
Dans l’Antiquité, le Sphinx était peint de couleurs vives. Le corps était probablement rougeâtre, tandis que le némès, l’étoffe traditionnelle portée sur la tête, comportait des rayures jaunes et bleues. Le monument est orienté d’ouest en est et se trouve à proximité des pyramides de Gizeh. Il est unique en son genre, contrairement aux pyramides d’Égypte, dont la construction s’est étalée sur plusieurs générations, les pharaons tentant de répéter les exploits de leurs prédécesseurs. D’autres statues de sphinx ont été découvertes en Égypte, mais de dimensions beaucoup plus modestes.
On ne sait pas si le Sphinx représente Khafrê. La plupart des égyptologues s’accordent à dire qu’il a été commandé par le roi Khafrê de la IVe dynastie, à qui l’on attribue également la construction de la deuxième plus grande pyramide de Gizeh. Mais il est impossible de savoir si c’est vraiment le cas.
L’énigme de l’absence de documents
Ce qui rend le mystère du Sphinx particulièrement énigmatique, c’est le silence des archives égyptiennes. Les Égyptiens étaient des archivistes méticuleux, et bon nombre de leurs réalisations ont été soigneusement documentées. Le Sphinx, cependant, semble avoir échappé à cette rigueur. En fait, le Sphinx a été sculpté il y a des milliers d’années, et tous les écrits à son sujet qui peuvent être liés à l’Égypte ancienne ont été rédigés des milliers d’années plus tard. Pas de papyrus, pas de hiéroglyphes et aucune inscription contemporaine.
Malgré des preuves contradictoires et des points de vue divergents, les égyptologues traditionnels ont adopté la position selon laquelle le Sphinx n’est pas plus ancien que la quatrième dynastie. Toutefois, hormis le système de croyance de certains égyptologues, cette position repose sur des hypothèses archéologiques et peu de preuves physiques. Selim Hassan, un chercheur ayant étudié le monument en détail, souligne dans son ouvrage que l’attribution du Sphinx à Khafrê repose sur des « preuves circonstancielles ».
Il est étonnant qu’un monument d’une telle envergure, situé près des pyramides et faisant indubitablement partie du patrimoine culturel égyptien, soit à ce point absent des annales anciennes. Cette absence n’est pas seulement intrigante, elle pose également des questions fondamentales sur la compréhension de l’Égypte ancienne et, peut-être, sur les méthodes archéologiques modernes elles-mêmes.
Des théories alternatives
Ce qui est encore plus déconcertant, c’est que des égyptologues renommés tels que Sir Flinders Petrie, Gaston Maspero et E. A. Wallis Budge ont tous mis en doute l’attribution du monument à Khafrê. La datation conventionnelle du Sphinx a été remise en question, suggérant que le monument pourrait être beaucoup plus ancien que ne le pensent les chercheurs modernes.
D’autres théories, en rupture avec le consensus académique, ont été avancées. Parmi elles, on trouve celles de Graham Hancock et Robert Bauval, qui suggèrent que le Sphinx aurait été construit autour de 10 500 av. J.-C., en alignement avec certaines configurations stellaires. Bien que cette théorie soit largement contestée, elle soulève des questions intéressantes sur l’âge réel du monument et l’absence de preuves matérielles solides pour soutenir les thèses traditionnelles.
Le Grand Sphinx de Gizeh est sans aucun doute l’un des monuments les plus emblématiques de l’histoire humaine. Son absence remarquable des documents anciens, cependant, ajoute une couche de mystère à une figure déjà enveloppée de nombreuses énigmes. La variété des théories et des opinions sur son origine, son âge et sa signification révèle non seulement les limites de nos connaissances, mais aussi l’étendue de notre fascination pour ce monument silencieux qui continue de captiver le monde. Pour aller plus loin, voici 10 faits fascinants sur le Sphinx, l’un des monuments les plus emblématiques du monde.
La théorie de Beauval et Hancock se fonde sur la géologie, elle est aussi plausible que celle des égyptologues traditionnels.
On a relativement peu d’écrits de ces périodes ! Ils écrivaient sur des papyrus.
On peut trouver un écrit, un jour.
Le sphinx a été taillé pour honorer khéops par son successeur, son fils. Sa pyramide est maintenant en ruine, elle a servie de carrière pour construire le Caire.
Bonjour à tous les chercheurs de vérité une subjestion si nous nous disparition que notre civilisation disparaît qu’il reste quelques survivants que parmi ces quelques survivants ils y élèvent un dirigeant est que de notre civilisation il reste que notre tour Eiffel est on grave son nom dessus que vont dire les générations futures que c’est le monument de ce fameux dirigeant non ??? Juste a regardé la différence de taille entre le corps et la tête ils ne faut pas sortir de Harvard pour voir l’incohérence qu’il y a non ??? Juste pour preuve toblekitepe 12000 ans jusqu’à présent la communauté scientifique disait que la première civilisation est apparu 6000 ans vraiment ils pensent avoir le savoir acquis alors qu’il tâtonne a l’aveugle ils sont dans l’erreur est conduisant tous le monde dans l’erreur on n’est mieux servi que par soit même étudié par vous même pas lire les revues pseudo scientifique ils sont terrorisé d’admettre que nous ne sommes pas là première civilisation avance de la terre des monuments que même nous avec notre technologie actuelle nous n’arriverons pas à construire les mêmes monuments de part le monde qu’il y a tous relèvent de misteres et d’incompréhension ils faut oublier l’histoire racontée est savoir reconnaître que nous sommes ignorent de notre passé pour pouvoir connaître notre avenir
Il est essentiel d’aborder cette question avec un esprit critique et scientifique. La théorie présentée ici semble être basée sur des spéculations sans preuves solides pour la soutenir. Voici quelques points à considérer :
1. Les hypothèses sur les survivants d’une civilisation future qui élèvent un dirigeant et gravent son nom sur la Tour Eiffel manquent de fondement scientifique. Une telle idée repose sur des conjectures non étayées.
2. Comparer la taille du corps et de la tête d’une statue, comme dans le cas de la « différence de taille » mentionnée, n’est pas une base solide pour établir des théories historiques.
3. Les références à des sites anciens comme Göbekli Tepe sont pertinentes, mais elles ne valident pas automatiquement l’idée que notre compréhension de l’histoire est fondamentalement erronée. La science évolue avec de nouvelles découvertes et des preuves, mais cela ne signifie pas nécessairement que toute notre compréhension actuelle est incorrecte.
4. Les chercheurs et la communauté scientifique mettent constamment à jour leurs connaissances à mesure que de nouvelles informations émergent. La science se fonde sur l’examen critique des preuves et des données.
En science, il est essentiel d’exiger des preuves solides pour soutenir des affirmations et de ne pas accepter des théories basées uniquement sur des spéculations ou des conjectures. La remise en question de nos connaissances est un processus naturel, mais elle doit être fondée sur des données vérifiables et des méthodes scientifiques rigoureuses.