Voilà un appareil simple d’utilisation qui ravira toutes les personnes ayant conservé leurs anciennes pellicules d’appareils photo argentiques. Finie la lenteur des scanners classiques, place aux nouvelles technologies et à la vitesse avec ce scanner de négatifs pour smartphone que DGS vous présente.
Parti d’une campagne de crowdfunding sur Kickstarter plus que réussie (avec une levée de fond de 198.000 €), ce projet de la firme américaine Lomography est aujourd’hui devenu réalité et permet de redonner vie à vos anciens négatifs. Il est donc désormais possible de scanner des films 35 mm directement via votre smartphone.
Le procédé est aussi simple qu’ingénieux. Ainsi, vous n’avez qu’à placer votre appareil sur l’emplacement prévu à cet effet, allumez le rétro-éclairage et prenez en photo le négatif inséré dans la partie inférieure du scanner. La beauté de votre film ressuscité dépendra bien évidemment de la qualité qu’offre l’appareil photo de votre smartphone. Vous pourrez cependant effectuer quelques ajustements (couleurs, contraste, expositions) grâce à une application gratuite disponible sur l’AppStore Windows Store et l’Android Market et bien entendu convertir le négatif en positif.
Si vous êtes intéressé par ce scanner de poche pour smartphone, vous pouvez vous le procurer sur le site de la Fnac pour seulement 59 €. Eh oui, en plus d’être ingénieux, cet appareil n’est pas hors de prix : une aubaine pour offrir une seconde jeunesse à vos anciens films 35 mm ! Enfin, sachez que le Lomgraphy Smartphone Film Scanner fonctionne grâce à deux piles et est exempt de tous câbles de connexion.
Il ne fait nul doute que les amateurs de photographies vont se régaler avec cet accessoire. La plupart d’entre nous à la rédaction est déjà passée à l’ère ultra-numérisée de la photographie via smartphone, mais on imagine que les personnes qui travaillent à la fois sur argentique et numérique seront ravis d’avoir un tel outil à leur disposition. Alors, trouvez-vous que ce scanner miniature puisse être bénéfique à tous les photographes avérés ou amateurs ?
Par Romain Pernet, le
Source: Graphism