Le virus du papillome humain (VPH) est une infection qui se manifeste par l’apparition de verrues sur le corps. Il se propage par le contact sexuel et provoque différents cancers chez l’homme et la femme.
A cet effet, la Public Health England, l’agence exécutive du ministère de la Santé et des Affaires sociales du Royaume-Uni et le service de la santé publique du Royaume-Uni, le National Health Service (NHS), ont décidé de prendre des mesures. Plus précisément, cette mesure est d’étendre un programme de vaccination contre le VPH chez tous les garçons de la huitième année scolaire en Angleterre. Cette mesure s’appliquera dès le mois de septembre 2019.
Cela les protégera contre 5 % de tous les types de cancers existants
Pour rappel, les filles en Angleterre font aussi l’objet de cette vaccination anti-VPH depuis 2008. Le Public Health England suppose d’ailleurs que ce programme permettrait d’éviter plus de 100.000 cas de cancer dans tout le Royaume-Uni d’ici 2058.
Les organismes de santé déclarent également que, grâce à cette vaccination, les deux genres seront protégés d’autant plus que le virus du VPH se transmet sexuellement. De plus, le vaccin préviendrait également 5 % des cancers comme le cancer du pénis, de l’anus, des organes génitaux, de la tête et du cou.
La campagne de vaccination identifie principalement les jeunes garçons et les jeunes filles âgés de 12 ans environ et l’Ecosse et le Pays de Galle ont également déjà introduit cette campagne de vaccination. Pour la professeure Beate Kampmann, directrice du centre de vaccination de la London School of Hygiene and Tropical Medicine, cette campagne est une victoire sur l’égalité des sexes dans la prévention du cancer. Elle déclare joyeusement que « nous disposons maintenant des outils pour éradiquer la plupart des cancers associés au VPH chez les hommes et les femmes ».
Le Royaume-Uni, l’Australie et le Japon ont lancé le programme de vaccination
Selon le directeur général du Jo’s Cervical Cancer Trust, Robert Music, il s’agit là d’un grand pas en avant en ce que « le VPH ne fait pas de discrimination. Il peut toucher tout le monde mais de nombreux mythes et stigmates nuisibles l’entourent. C’est pourquoi un programme de vaccination universel est si important non seulement pour normaliser ce virus très courant et réduire les inégalités existantes mais aussi pour protéger davantage de personnes contre le cancer et sauver des vies. »
Par ailleurs, il faut savoir que le Royaume-Uni n’est pas le seul pays ayant opté pour cette stratégie anti-VPH. Des pays comme l’Australie et le Japon ont également entamé le mouvement malgré de grands obstacles liés à la stigmatisation et les histoires alarmistes entourant le virus. Au Japon par exemple, la vaccination avait déjà été suspendue en raison de craintes liées à la douleur et la fatigue chez les adolescentes. Mais l’Agence européenne des médicaments a examiné le problème et a écarté ces craintes.
La ministre de la Santé publique, Seema Kennedy, et la Dre Mary Ramsay, responsable de la vaccination au Public Health England, ont chacune encouragé les parents à faire vacciner leurs enfants arguant que des millions de vies ont déjà été sauvées et que d’innombrables cas de terribles maladies ont été prévenus.
Pauvres petits garçons, ils risquent de développer de très lourdes séquelles, handicapantes et chroniques tout ça à cause de cette classe de « vaccins » (le terme est trop élogieux pour une salo..rie pareille) et dont l’efficacité ne transparaît pas dans les chiffres des registres nationaux du cancer des pays qui l’utilisent massivement.
Quand à l’évaluation de l’agence européenne de médecine, elle n’a aucune crédibilité aux sujet des vaccins (cf analyses Corvelva et encore plus méta-analyse truquée dénoncée par Peter C. Gøtzsche, qui s’est fait viré de l’institut qu’il à lui-même cofondé après qu’il ai commence à fourrer son nez dans cette histoire).