Pouvoir regarder des films en 3D devient de plus en plus facile ! Cette nouvelle paire de lunettes vous le permet justement en transformant votre smartphone en écran géant 3D qui vous donne l’impression d’être au cinéma. DGS vous explique comment ça marche.
Les lunettes vrAse résultent d’un projet sur le site de crowfunding (financement par la foule) Kickstarter. Grâce à elle, un simple smartphone nouvelle génération vous permettra de regarder des films en HD, en 3D ou encore d’expérimenter la réalité augmentée de façon simple et relativement pas chère. Le tout avec les mains libres, comme si vous étiez au cinéma 😉 !
Mais alors, comment ça fonctionne ? Le principe est très simple : le système vrAse envoie deux images différentes à chaque œil, comme l’expliquent les personnes à l’origine du projet. En procédant ainsi, ils ont réussi à créer un effet de véritable et « parfaite » 3D, « dont vous pouvez profiter pendant des heures sans fatiguer vos yeux. »
Pour cela, il suffit juste de se procurer les lunettes, pour un prix en pré-commande d’environ 48 € pour une entrée de gamme, puis de faire glisser le smartphone dans les lunettes. Une petite application à télécharger ensuite et vous pourrez profiter de beaucoup de choses : films en 3D avec l’impression de vous trouver face à un véritable écran géant. Si les films sont déjà en 3D : parfait ! Mais si vous voulez regarder un ancien film, il vous suffit de le convertir en 3D et le tour est joué. Il est également possible de faire ça avec n’importe quel contenu de votre smartphone, les jeux vidéos et applications, en particulier.
La date de commercialisation n’a pas encore été dévoilée, l’équipe préfère se concentrer sur la qualité du produit plutôt que de le sortir trop hâtivement. Mais justement, à la rédaction, on est assez impatient de voir les vrAse disponibles afin de profiter de films 3D chez nous sans avoir à acheter une télévision 3D ! Et vous, pensez-vous que c’est plutôt un gadget inutile ou une invention qui aura une vraie utilité à l’avenir ?
Par Corentin Vilsalmon, le
Source: Humanosphere