Bien que le confinement ait été dur à vivre pour de nombreux Français, cette pause a fait le plus grand bien à la planète. Les émissions de CO2 ont énormément baissé, redonnant de l’espoir pour le climat.
Un confinement bénéfique pour le climat
Après avoir vécu 8 semaines en confinement, la France fait partie des pays qui ont dû se cloîtrer pour empêcher le coronavirus de sévir. Pendant de longues semaines, de nombreux pays ont stoppé les usines ainsi que la circulation routière et aérienne. À l’arrêt, toutes ces activités normalement très polluantes, ont permis à la planète de respirer un peu.
Une étude publiée le 19 mai dernier dans la revue Nature Climate Change affirme que la baisse des activités humaines a permis une baisse drastique des émissions mondiales de CO2 de 8,6 %. Corinne Le Quéré, climatologue de l’université d’East Anglia au Royaume-Uni qui a dirigé l’étude, affirme qu’une telle baisse n’a pas été vue depuis la Seconde Guerre mondiale.
En effet, on note une baisse de 26 % des émissions quotidiennes de chaque pays durant le pic du confinement. La France a connu une baisse maximale de 34 % le 20 mars. Dans le monde, à ce jour, les États-Unis détiennent le record de la baisse la plus importante, qui est de 31,6 %. Toutefois, la Chine aussi détient un record, mais cette fois au niveau du volume de CO2 : 242 millions de tonnes d’émissions de CO2 en moins durant le confinement ! L’auteure de l’étude a une solution qui ne risque pas de plaire à tout le monde…
La mise en place d’un confinement par an ?
Pour Corinne Le Quéré, les objectifs liés au climat peuvent être facilement atteints si le monde se confinait pendant 4 mois jusqu’en 2030 au moins. Cette méthode pourrait permettre de réduire les émissions polluantes entièrement liées à l’activité humaine de 7,6 % par an.
Mais la réalité est tout autre ! Il est bien évidemment impossible de demander une telle chose à chaque pays… De ce fait, l’idéal serait d’atteindre l’un des objectifs de l’accord de Paris sur le climat, c’est-à-dire limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C. Corinne Le Quéré à une recommandation précise, relate Les Échos : « Mettre en œuvre des plans de relance économique qui aident également à atteindre les objectifs climatiques, en particulier pour la mobilité. » Autrement dit, bonjour aux vélos et à la marche !
Par Justine Dumont, le
Source: Science Post
Étiquettes: climat, pollution, co2, confinement
Catégories: Écologie, Actualités
« la France fait partie des pays qui ont dû se cloîtrer pour empêcher le coronavirus de sévir. »
Ça suffit les mensonges ! Le nombre de mortalité pour la période avril-mai de cette année est moindre que les années précédentes malgré le gonflement des chiffres et la mauvaise décision de confiner car les pays qui ne l’ont pas imposé ont eu moins de mortalité.
Les pics de chaleur de fin mai(+30C en Sibérie, arctique et +35C au Québec) étaient probablement la conséquence de l’arrêt de l’activité aérienne qui épand des milliards de tonnes de particules dans la troposphère, causant un refroidissement et un assombrissement.
C’est d’une décroissance qu’on a de besoin pas d’une relance économique. De toute façon l’économie est foutue depuis 2008. Et c’est pas une monnaie numérique qui va régler le problème, bien au contraire.