7. « Je ne suis pas contrarié que vous m’ayez menti ; Je suis contrarié qu’à partir de maintenant, je ne puisse pas te croire »
Quand quelqu’un que l’on aime vraiment vous ment, vous n’êtes pas forcément contrarié. Ce qu’explique Friedrich Wilhelm Nietzsche est que le fait que vous ne puissiez plus jamais lui faire confiance fait encore plus mal.