En poussant la porte du Dalu Robot Restaurant, les clients ont désormais l’honneur d’être accueillis puis servis par une horde de robots plus incongrus les uns que les autres. Une attraction qui ne manque pas d’attirer les foules ! A découvrir maintenant en vidéo.
Il y a peu, DGS vous présentait les mannequins androids utilisés dans un grand magasin de Tokyo. Désormais, c’est au tour de la restauration d’accueillir une main d’œuvre d’un nouveau genre : des robots. Au Dalu Robot Restaurant, situé dans l’est de la Chine, vous ne trouverez ni serveuse souriante ni maître d’hôtel. Cet établissement leur a préféré deux robots réceptionnistes et ses six robots serveuses, tous différents et prêts à assurer le divertissement. Un concept original qui ne manquera pas d’attirer la foule.
Les robots serveurs sont équipés de capteurs détectant les obstacles et suivent un rail faisant le tour du restaurant pour se déplacer. Les 21 tables sont disposées de manière à permettre au « personnel » de passer d’un client à l’autre. Ils peuvent ainsi servir jusqu’à 100 personnes simultanément dans ce restaurant de 500 m2. Tandis que certains font des aller-retour en salle pour prendre les commandes et apporter les plats et boissons, d’autres accueillent les clients. La Shandong Dalu Science and Technology Company Zhang Yongpei, à l’origine du concept espère pouvoir bientôt totaliser 40 robots dont certains encore plus sophistiqués : «La prochaine étape, c’est de développer des robots qui peuvent monter des marches et aider aux tâches en cuisine, comme faire la vaisselle. Et nos serveuses deviendront plus sophistiquées, elles pourront aller directement jusqu’à la table des clients et même remplir leurs verres.» Le Dalu Robot Restaurant semble avoir trouvé une drôle de solution pour en finir avec les interminables entretiens d’embauche permettant de trouver du personnel qualifié :-). Découvrez cet établissement peu commun en images.
Et vous, êtes-vous prêt à voir débarquer dans votre restaurant préféré une horde de robots ?
Par Alex Dobro, le
Source: Slate