La société Neuralink, très secrète quant à ses recherches, se trouve à nouveau sous les feux de la critique suite à une enquête de Wired. L’étude révèle que les essais sur un macaque femelle, réalisés au California National Primate Research Center (CNPRC) de l’UC Davis, ont entraîné de sévères anomalies neurologiques dans le cerveau de l’animal.
Le cœur du problème réside dans une expérience spécifique où un implant Neuralink a été posé sur une femelle macaque. Suite à l’implantation, l’animal a présenté un gonflement cérébral extrême et des défauts neurologiques alarmants. Bien que ces symptômes aient été identifiés, la décision a été prise de maintenir le primate en vie, aggravant ainsi son état de souffrance. Des documents fournis par Wired indiquent que le macaque a subi des symptômes graves tels que des convulsions, des vomissements et des difficultés respiratoires pendant les dernières 24 heures de sa vie.
Une autopsie subséquente a confirmé la gravité des dommages. Une fuite de colle issue de l’implant avait enflammé une région cruciale du cerveau, celle qui produit le liquide céphalo-rachidien. L’état était si catastrophique que la partie postérieure du cerveau du singe était visiblement hors de sa boîte crânienne, bien que les circonstances exactes demeurent obscures.
Les photos qui pourraient éclairer davantage sur la gravité des effets sont, à ce jour, non divulguées. Des organismes de défense de l’éthique, notamment le Physicians Committee, militent pour la transparence totale de ces essais, arguant que l’UC Davis, en tant qu’institution publique, a un devoir envers le public.
Wired rapporte que l’incident a été officiellement considéré comme une infraction à la législation américaine sur le bien-être animal, mais que le CNPRC a esquivé des implications juridiques en signalant lui-même la violation. L’UC Davis justifie le non-partage des photos en suggérant que le public pourrait mal les interpréter, mettant en danger la sécurité des chercheurs et décourageant la prise de photos futures.
Cette affaire met en lumière des questions éthiques plus vastes concernant l’expérimentation animale, surtout lorsqu’elle est financée par des fonds publics. Elle invite également à un examen plus minutieux de Neuralink et de ses pratiques, d’autant plus que la société continue ses essais sur les humains malgré l’opprobre. Un avocat représentant le Physicians Committee dans le cadre du procès contre Neuralink souligne l’importance de la divulgation totale. Selon lui, Neuralink « induit en erreur le public et minimise l’horreur de ses expérimentations ».
ras le bol de ces abrutis de scientifiques qui font souffrir les animaux pour rien, les pauvres animaux n’ont rien demandés et ne sont pas sur la terre pour subir les fantasmes débiles des soit disant tête pensante et savantes, c’est une honte et ils devraient être punis pour ce qu’ils font à ces petites bêtes
COMMENT CES SCIENTIFIQUES PEUVENT ENCORE SE REGARDER DANS UN MIROIR ……
CETTE PETITE SINGE N’AURA ÉTÉ QU’UN OBJET POUR CES INDIVIDUS SANS ÂME.
Nous sommes TOUS DES OBJETS SANS IMPORTANCE !!!!
quelle horreur tout cela !!!