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Pourriez-vous tomber amoureux d’un robot ? Des scientifiques ont prouvé que ce serait le cas en 2050

Tomber amoureux d’un robot vous semble complètement invraisemblable ? Pourtant, certaines personnes l’ont fait et se portent bien aujourd’hui. Des scientifiques vous expliquent qu’il sera même possible d’épouser l’un d’entre eux d’ici 2050 ! DGS vous dévoile leur surprenante projection du futur. 

Des expériences scientifiques poussées ont prouvé que l’Homme était apte à s’attacher à des objets inanimés. Pour cause, récemment un jeune homme a demandé la main à son robot qui n’est autre que Nene Anegasaki, un personnage féminin figurant dans le jeu Love Plus. Ce mariage loufoque n’a cependant pas été reconnu par l’état japonais. Pourtant, ce jeune homme n’est pas le seul à avoir voulu s’unir avec un robot.

S’attacher et éprouver des sentiments amoureux sont deux capacités totalement différentes. Seulement, David Levy, un chercheur en intelligence artificielle à l’université de Maastricht aux Pays-Bas et auteur du livre Love and Sex with Robots, estime qu’il sera possible d’éprouver des sentiments amoureux pour un robot, d’ici une quarantaine d’années. D’après Davis Levy toujours, l’homme sera capable de tomber amoureux dès lors qu’un robot pourra converser sur divers sujets avec lui.

 

Ce phénomène a par ailleurs inspiré le réalisateur Spike Jonze pour son film « Her » qui relate l’incroyable histoire d’amour entre Theodore Twombly et Samantha, la voix féminine d’un programme informatique très moderne. Serait-ce un film prémonitoire ? Bien que cette idée puisse paraître inconcevable, certains scientifiques et philosophes s’accordent à dire que le bonheur peut également résider dans la technologie.

 

Il est incroyable d’imaginer que demain, il nous sera peut-être possible d’épouser des machines. Dans l’équipe nous trouvons qu’il est difficile d’éprouver des sentiments amoureux pour un robot, pourtant l’un d’entre nous trouve l’idée excitante ! Vous verriez-vous tomber amoureux d’un androïde ? 

Par Laura Gonçalves, le

Source: Humanoides.fr

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