L’horreur a de nouveau frappé l’Afrique. Le 7 novembre dernier, des sites d’information mozambicains annonçaient que plus de cinquante Mozambicains ont été décapités par des terroristes dans la province de Cabo Delgado.
Un crime perpétré par des « militants islamistes radicaux »
Plus de 50 personnes ont été retrouvées décapitées et démembrées au Mozambique sur un terrain de foot, a révélé le site d’information mozambicain Pinnacle News le 7 novembre dernier. Ce crime aurait été perpétré par des « militants islamistes radicaux » affiliés à Daech. Ceux-ci auraient attaqué le district de Muidumbe en criant « Allah Akbar » pour chasser la population, avant de piller et d’incendier leurs habitations. Des civils ont ensuite été conduits sur un terrain de football se trouvant à proximité. Ceux-ci ont été décapités et démembrés.
Un porte-parole de la police du district de Mueda rapporte que la police locale a appris les faits par des rapports de civils ayant découvert des cadavres dans les bois. D’après Courrier international, les victimes seraient majoritairement des adolescents tout juste circoncis, ayant participé à une cérémonie d’initiation masculine.
Pinnacle News indique que les victimes seraient au nombre de cinquante et un. Cependant, Mediafax souligne qu’il est difficile d’avoir des informations précises en raison du sabotage des réseaux de téléphonie par les terroristes. De plus, Luiz Fernando Lisboa, l’évêque de Pemba, la capitale régionale de la province de Cabo Delgado, confirme que les décapitations ont bien eu lieu, mais indique qu’il est impossible de définir le nombre exact de victimes pour l’instant.
Des attaques fréquentes dans la même région
Les djihadistes affiliés à Daech sont présents dans la région de Cabo Delgado au Mozambique depuis déjà trois ans. Ces derniers se sont emparés de plusieurs villes importantes pendant de courtes périodes et ont attaqué plusieurs cibles cette année. Ils avaient notamment décapité une cinquantaine de personnes qui refusaient de rejoindre leurs rangs en avril dernier.
Face à cette vague de barbarie, le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, demande à ouvrir une enquête. De son côté, le président français Emmanuel Macron est également indigné par ce massacre. « Des barbares détournent une religion de paix pour semer la terreur : le terrorisme islamiste est une menace internationale qui appelle une réponse internationale », a-t-il déclaré sur Twitter.
Par Kanto Andriamanjatoson, le
Source: Courrier international
Étiquettes: mozambique, décapitations, militants islamistes
Catégories: Actualités, Société
Sacré maqueron, il nous amusera toujours. Il écrit que l’islam est une religion de paix. En effet , c’est une religion de paix éternelle pour tous ceux qui ont été assassinés. Envers et contre toutes les preuves, il persiste et signe. Il les aime tellement qu’il en fait entrer toujours davantage. En plus ils sont protégés par les « juges » qui relâchent ceux qui sont en prison sans même les expulserdu pays.
Les Français qui tolèrent ce genre de comportement criminel ne sont que des traîtres et des collabos.
La France est devenue un pays de daube.
Emmanuel Macron est également indigné par ce massacre. « Des barbares détournent une religion de paix pour semer la terreur.
C’est quand qu’il va comprendre que ce n’est pas une religion de paix ?