Les statues de l’île de Pâques via Shutterstock
L’île de Pâques est une île du Chili se situant à près de 3 680 kilomètres des côtes. Isolée dans l’océan Pacifique, elle est célèbre pour ses statues gigantesques au visage humanoïde, au nombre incroyable de 1042. SooCurious vous emmène pour un voyage au large de l’Océanie, au coeur de la Polynésie.
Le patrimoine de l’île, composé entre autres de 1042 statues de 4 mètres, est protégé et inscrit au patrimoine mondial par l’UNESCO. De nombreux parcs et réserves naturelles sont surveillés. La communauté vivant en ce lieu veille sur ces véritables vestiges de l’histoire dont l’édification reste encore aujourd’hui bien mystérieuse. Le nom « Île de Pâques » est dû au fait que le navigateur hollandais Jakob Roggeveen a découvert cette terre le jour de Pâques 1722. Cependant, les habitants ne la nomment pas ainsi. En effet, elle a porté le nom de Te kainga a Hau Maka (le bout de terre de Hau Maka), Te pito o te henua (le nombril de la terre), Rapa Nui (la grande Rapa) et Matakiterani (les yeux regardant le ciel), pour désigner les moaïs, ces statues gigantesques.
Les moaïs proviennent d’une carrière située au niveau du volcan Rano Raraku. Le plus grand mesure près de 10 mètres de haut. Leur création soulève plusieurs hypothèses quant au transport de ces personnages gigantesques. En effet, le transport de ces géants n’est pas encore élucidé, mais certains chercheurs pensent qu’ils ont été acheminés du volcan jusqu’à leur lieu actuel par un mouvement de balancier régulé par des cordes. D’autres personnes, un peu moins terre à terre, sont persuadées que ces statues ont été amenées par les aliens.
Les statues de l’île de Pâques via Shutterstock
Ces paysages sont impressionnants. Bien que célèbre pour ses statues incroyables, l’île de Pâques est également une terre où prospèrent des peuples ancestraux dont la culture doit être préservée. Si vous appréciez l’Océanie, partez à la rencontre des peuples de la Papouasie, ces habitants chaleureux à la culture ancienne. Avez-vous envie de voir les géants de l’île de vos propres yeux ou préférez-vous les destinations moins lointaines ?
Par Lauranne Boivin, le