8. L’Homme-sable (Thomas Haden Church)
S’il y a une intrigue qui a été bien menée dans le troisième Spider-Man de Sam Raimi, c’est celle de Flint Marko, alias Sandman ou l’Homme-sable. Son histoire est celle d’un père torturé devenu un monstre après un tragique accident. Et même s’il finit par devenir véritablement un vilain, la performance texturée de Thomas Haden Church a apporté sympathie et humanité à ce film dominé par les déboires et la noirceur de Peter Parker, d’Harry Osborn et d’Eddie Brock.