La franchise de jeu vidéo Doom a une place à part dans le coeur des joueurs puisqu’il s’agit d’un des premiers vrais FPS 3D un peu après la license Wolfenstein. Entre gameplay nerveux et surenchère d’hémoglobine, le premier Doom s’est tout de même vendu à 30 millions d’exemplaires, en faisant l’un des jeux PC les plus populaires de tous les temps. SooGeek revient avec vous sur le succès d’une franchise aussi culte que populaire.
Détruire du démon à grand coup de fusil à pompe et voir une giclée de sang repeindre le sol fait partie des petits plaisirs de cette licence à succès. 1993 c’est la date à laquelle sort le premier jeu, celui-ci propose une 3D novatrice et un moteur graphique qui met des petites claques humiliantes aux concurrents. Les niveaux proposaient pour l’époque beaucoup d’interactions, avec les portes, etc.
Doom 1 :
Le jeu s’inspirant de plusieurs films cultes comme Alien, Terminator de James Cameron, La Mouche et The Thing, ne pouvait que plaire aux joueurs. La bande son heavy metal est faite pour renforcer le côté nerveux du titre et offrir un vrai jeu bourrin. Pour l’époque c’était vraiment novateur.
Doom 2 :
Le jeu fut un tel succès que des suites furent réalisées, celle qui marqua les esprits fut surtout Doom 3 (2004), une révolution visuellement parlant notamment grâce à sa gestion dynamique de la lumière, rendant les environnements obscurs intenses et glauques.
Doom 3 :
Doom propose à travers son gameplay nerveux, des scènes gore dépassant tout entendement. Démembrements, effusion de sang, écrasements, tout y est pour être dans la surenchère, mais au lieu d’être dégoûté, on en redemande ! Et Doom 4 semble vraiment être un vrai maître dans la matière.
Doom 4 :
Les jeux de cette franchise sont vraiment de vrais défouloirs et on ne se lassera jamais de découper du démon à la tronçonneuse et de tirer sur tout ce qui bouge avec des calibres de plus en plus puissants au fil de la progression. Avez-vous eu la chance de jouer au premier Doom et pensez-vous que la franchise a encore un bel avenir devant elle ?
Par Camille Allard, le