L’art se trouve partout ! Cet artiste américain a le don de dessiner sur des voitures sales des portraits tirés des plus grands artistes. C’est incroyable ce qu’il arrive à faire simplement avec de la poussière. On jette les palettes de peinture et on admire « l’art de la poussière ». DGS vous montre en quelques images l’incroyable talent de cet artiste.
Il s’appelle Scott Wade, il est américain et c’est un remarquable artiste. Cet habitant du Texas a trouvé le moyen de sublimer une voiture pleine de poussière en un chef-d’oeuvre artistique. Scott est un graphiste à part, à l’aide de ses doigts, ses pinceaux et ses brosses, il dessine en un rien de temps des peintures stupéfiantes sur les voitures. Son art est nouveau et original, Scott s’inspire notamment des toiles des plus grands peintres renommés de leur époque comme Van Gogh, Léonard de Vinci et bien d’autres encore ..
Pour la petite histoire, ce Texan a commencé à pratiquer cet art déjà tout petit et aujourd’hui il en a fait son métier puisqu’il réalise des contrats avec de nombreuses célèbres marques qui ont été séduites par son talent. Sa principale phobie : la pluie ! Ce qui peut être effectivement une énorme contrainte lors de son travail.
Portrait de l’artiste Scott Wade
Dessin du footballeur Ronaldinho
Dessin de femmes texanes
Dessin du père Noël
Dessin parodique de la peinture du plafond de la chapelle Sixtine
Dessin tiré du tableau « La Joconde » de Léonard de Vinci
Dessin en 3D de voyageurs sur la route
Dessin tiré du tableau « La Naissance de Vénus » de Sandro Botticelli
Dessin tiré du tableau « La Jeune Fille à la perle » de Johannes Vermeer
Dessin tiré du tableau « American Gothic » de Grant Wood
Vidéo de Scott Wade qui explique en quelques minutes son travail
Stupéfiant ! Il ne lui a fallu que de la poussière pour réaliser ces chefs-d’oeuvre ! À la rédac’, on admire le talent de Scott, on aurait presque envie de laisser sa voiture poussiéreuse. Et vous, si vous croisiez une voiture dans cet état, quelle serait votre réaction ?
Par Tina Mohsenzadeh, le
Source: Vincent Abry